Réalisateur | Dupieux Quentin |
Acteurs | Jean Dujardin, Adèle Haenel, Thomas Blanchard |
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Georges, la quarantaine, quitte du jour au lendemain sa femme et son travail pour s’offrir le blouson de ses rêves, une veste en daim à franges. Le vendeur lui cède avec un caméscope numérique. Très fier du nouveau style que lui confère son achat, Georges prend une chambre d’hôtel dans une station des Pyrénées. Dans un bar, il fait la connaissance de Denise, une serveuse cinéphile qui rêve de devenir monteuse. Il lui fait croire qu’il est un réalisateur en repérage pour un prochain tournage. L’homme développe par ailleurs une véritable obsession pour son blouson. Quentin Dupieux continue la construction de son oeuvre singulière dans un film où l’absurde le dispute au non-sens, avec une pointe de sauvagerie.
Bande à part : "Quentin Dupieux dirige Jean Dujardin et Adèle Haenel dans un récit aussi plaisant que perturbant : une folie - au sens strict - réussie de trois personnalités décapantes du cinéma français."
Cahiers du Cinéma : "On est bien chez Dupieux, mais quelque chose de légèrement poisseux et dépressif fait de ce Daim un film un peu à part dans la filmographie du cinéaste."
Libération : "Alors, mine de rien, à sa façon borderline et très peu sentimentale, Quentin Dupieux parvient à filmer rien moins qu’une rencontre. Ce film à la fois inquiétant et hilarant en devient alors, oui, émouvant."
CinemaTeaser : "Il n’y a pas de concept foireux chez Quentin Dupieux. Juste des histoires et une manière fascinante de les raconter."
Culturopoing.com : "Le Daim" est sans doute l’un des meilleurs films du cinéaste, où le personnage de Georges est cette « conscience jetée dans le monde, soumise au regard des autres, apprenant d’eux ce qu’elle est », une conscience peut-être aussi folle que marginale, aussi libre qu’asservie. Et nous spectateurs apprenant ce que nous sommes aussi.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Georges, la quarantaine, quitte du jour au lendemain sa femme et son travail pour s’offrir le blouson de ses rêves, une veste en daim à franges. Le vendeur lui cède avec un caméscope numérique. Très fier du nouveau style que lui confère son achat, Georges prend une chambre d’hôtel dans une station des Pyrénées. Dans un bar, il fait la connaissance de Denise, une serveuse cinéphile qui rêve de devenir monteuse. Il lui fait croire qu’il est un réalisateur en repérage pour un prochain tournage. L’homme développe par ailleurs une véritable obsession pour son blouson. Quentin Dupieux continue la construction de son oeuvre singulière dans un film où l’absurde le dispute au non-sens, avec une pointe de sauvagerie.
Bande à part : "Quentin Dupieux dirige Jean Dujardin et Adèle Haenel dans un récit aussi plaisant que perturbant : une folie - au sens strict - réussie de trois personnalités décapantes du cinéma français."
Cahiers du Cinéma : "On est bien chez Dupieux, mais quelque chose de légèrement poisseux et dépressif fait de ce Daim un film un peu à part dans la filmographie du cinéaste."
Libération : "Alors, mine de rien, à sa façon borderline et très peu sentimentale, Quentin Dupieux parvient à filmer rien moins qu’une rencontre. Ce film à la fois inquiétant et hilarant en devient alors, oui, émouvant."
CinemaTeaser : "Il n’y a pas de concept foireux chez Quentin Dupieux. Juste des histoires et une manière fascinante de les raconter."
Culturopoing.com : "Le Daim" est sans doute l’un des meilleurs films du cinéaste, où le personnage de Georges est cette « conscience jetée dans le monde, soumise au regard des autres, apprenant d’eux ce qu’elle est », une conscience peut-être aussi folle que marginale, aussi libre qu’asservie. Et nous spectateurs apprenant ce que nous sommes aussi.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le daim