Réalisateur | Glenn Vincent |
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OMC - organisation mondiale du commerce - trois lettres pour nommer une institution dont l’idéologie, les caractéristiques, les objectifs n’ont - toujours - que très peu de visibilité publique. Comment, pourquoi, par qui et pour qui cette institution a-t-elle été mise en place, et pourquoi est-elle aussi contestée ? Sous forme d’une enquête filmée, entre investigation économique et périple musical, le portrait polémique d’une instance de pouvoir dont le champ n’a cessé de s’étendre depuis sa création en 1995 et qui a été conçue pour être l’arbitre du commerce mondial.
Avec : Agnès Bertrand, José Bové, Susan George, Manu Chao, Emir Kusturica, Pascal Lamy, Raoul-Marc Jennar, Aminata Traoré, Joseph Stiglitz...
2 PARTIES (deux fichiers compris dans la même location VOD ou achat fichier)
Musiques : La compagnie Lubat, Mamar Kassey avec Yoann Scheidt, Arnaud Rouanet et André Minvielle, Yacouba Moumouni, Samir Joubran et Amol Khanapurka, Djiguiya, Manu Chao et Radio Bemba, Taraf de Haïdouks, Mamar Kassey et Rakoto Frah.
Un proverbe nous dit : lorsqu’on a un marteau en tête, on voit tous les problèmes en forme de clou. Le marteau, aujourd’hui, c’est l’économie, et les divers acharnements à résoudre tous les problèmes humains en les transformant en données comptables et commerciales. En essayant de comprendre quelque chose à cette vision économiste de l’homme et du vivant, je me suis trouvé sur la piste de l’OMC et j’ai décidé d’en faire un film. J’ai cherché à comprendre les raisonnements tenus par quelques-uns de ses acteurs et détracteurs. Le fait d’avoir commencé le tournage dans un festival de musique du monde a fait le reste. Vincent Glenn, réalisateur.
Télérama : « Sans renier ses intentions partisanes, ce documentaire se veut une initiation en douceur aux arcanes du capitalisme international. Le réalisateur mène son enquête avec la déésinvolture et la naïveté du profane en économie. Vincent Glenn signe une œuvre d’utilité publique, apte à transformer les spectateurs néophytes en citoyens lucides, déterminés à enrayer le rouleau compresseur OMC et à dénoncer ses obscures manoeuvres de charité… »
Libération : « Ce long mais passionnant périple à la rencontre des économistes critiques, mais aussi des fonctionnaires de l’OMC, et de l’épicier du coin, suscite évidemment plein de questions. Ce Candide au pays du libre-échangisme décrypte le monde qui l’entoure en détricotant les liens étroits entre les enjeux économiques et une certaine éthique de vie. »
OMC - organisation mondiale du commerce - trois lettres pour nommer une institution dont l’idéologie, les caractéristiques, les objectifs n’ont - toujours - que très peu de visibilité publique. Comment, pourquoi, par qui et pour qui cette institution a-t-elle été mise en place, et pourquoi est-elle aussi contestée ? Sous forme d’une enquête filmée, entre investigation économique et périple musical, le portrait polémique d’une instance de pouvoir dont le champ n’a cessé de s’étendre depuis sa création en 1995 et qui a été conçue pour être l’arbitre du commerce mondial.
Avec : Agnès Bertrand, José Bové, Susan George, Manu Chao, Emir Kusturica, Pascal Lamy, Raoul-Marc Jennar, Aminata Traoré, Joseph Stiglitz...
2 PARTIES (deux fichiers compris dans la même location VOD ou achat fichier)
Musiques : La compagnie Lubat, Mamar Kassey avec Yoann Scheidt, Arnaud Rouanet et André Minvielle, Yacouba Moumouni, Samir Joubran et Amol Khanapurka, Djiguiya, Manu Chao et Radio Bemba, Taraf de Haïdouks, Mamar Kassey et Rakoto Frah.
Un proverbe nous dit : lorsqu’on a un marteau en tête, on voit tous les problèmes en forme de clou. Le marteau, aujourd’hui, c’est l’économie, et les divers acharnements à résoudre tous les problèmes humains en les transformant en données comptables et commerciales. En essayant de comprendre quelque chose à cette vision économiste de l’homme et du vivant, je me suis trouvé sur la piste de l’OMC et j’ai décidé d’en faire un film. J’ai cherché à comprendre les raisonnements tenus par quelques-uns de ses acteurs et détracteurs. Le fait d’avoir commencé le tournage dans un festival de musique du monde a fait le reste. Vincent Glenn, réalisateur.
Télérama : « Sans renier ses intentions partisanes, ce documentaire se veut une initiation en douceur aux arcanes du capitalisme international. Le réalisateur mène son enquête avec la déésinvolture et la naïveté du profane en économie. Vincent Glenn signe une œuvre d’utilité publique, apte à transformer les spectateurs néophytes en citoyens lucides, déterminés à enrayer le rouleau compresseur OMC et à dénoncer ses obscures manoeuvres de charité… »
Libération : « Ce long mais passionnant périple à la rencontre des économistes critiques, mais aussi des fonctionnaires de l’OMC, et de l’épicier du coin, suscite évidemment plein de questions. Ce Candide au pays du libre-échangisme décrypte le monde qui l’entoure en détricotant les liens étroits entre les enjeux économiques et une certaine éthique de vie. »
Pas assez de volume 1
Pas assez de volume 2