Marie-José Tubiana, 90 ans, est une ethnologue à la retraite, spécialiste du Darfour. Chaque jour, elle recueille minutieusement des témoignages de réfugiés pour authentifier leur récit et compléter leur dossier de demandeur d’asile. Malgré son âge, elle met à contribution son savoir et le travail de toute une vie de recherche, pour mener son combat. Le combat d’une vie dédiée à autrui.
Lauréat de la sélection nationale du FIPADOC 2022
Le sous-titrage sourds et malentendants est disponible à la location du film.
L’Humanité : Le documentaire qu’en tire Camille Ponsin est incroyable. Le réalisateur, tout en délicatesse, comme on recueille des larmes, image ces paroles – scènes de vie paisibles et arrivée des barbares – par des extraits de films dont beaucoup ont été tournés en 16 mm par Marie-José Tubiana elle-même.
Télérama : Alternant séquences dans son « bureau », fragments des films qu’elle avait tournés dans les années 1960 et archives insoutenables d’exactions, le film jette une lumière crue sur un génocide à bas bruit.
Bande à part : Alternant séquences dans son « bureau », fragments des films qu’elle avait tournés dans les années 1960 et archives insoutenables d’exactions, le film jette une lumière crue sur un génocide à bas bruit.
Marie-José Tubiana, 90 ans, est une ethnologue à la retraite, spécialiste du Darfour. Chaque jour, elle recueille minutieusement des témoignages de réfugiés pour authentifier leur récit et compléter leur dossier de demandeur d’asile. Malgré son âge, elle met à contribution son savoir et le travail de toute une vie de recherche, pour mener son combat. Le combat d’une vie dédiée à autrui.
Lauréat de la sélection nationale du FIPADOC 2022
Le sous-titrage sourds et malentendants est disponible à la location du film.
L’Humanité : Le documentaire qu’en tire Camille Ponsin est incroyable. Le réalisateur, tout en délicatesse, comme on recueille des larmes, image ces paroles – scènes de vie paisibles et arrivée des barbares – par des extraits de films dont beaucoup ont été tournés en 16 mm par Marie-José Tubiana elle-même.
Télérama : Alternant séquences dans son « bureau », fragments des films qu’elle avait tournés dans les années 1960 et archives insoutenables d’exactions, le film jette une lumière crue sur un génocide à bas bruit.
Bande à part : Alternant séquences dans son « bureau », fragments des films qu’elle avait tournés dans les années 1960 et archives insoutenables d’exactions, le film jette une lumière crue sur un génocide à bas bruit.
La combattante