Réalisateur | Michale Boganim |
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Mizrahim, c’est le nom que donnent les israéliens aux juifs venus d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, victimes, dès leur arrivée sur la Terre Promise, d’un système discriminatoire qui fait d’eux des citoyens de seconde zone. Dans les années 70, un mouvement de révolte s’inspirant des Black Panthers aux États-Unis, émerge pour défendre leurs droits.
Confrontée au deuil de son père, ancien membre de ce mouvement, Michale Boganim part à la rencontre de plusieurs générations de Mizrahim. Sous la forme d’un road-movie, le film approche par l’intime les questions d’exil et de transmission.
L'Humanité : Plus que de simples transitions entre divers tableaux, les chants marocains juifs sont le fil rouge du film. Entre villes parcourues, enfants d’immigrés interviewés et souvenirs personnels confiés, Michale Boganim éclaire les fantômes du passé qui planent sur une Terre promise en proie à la désillusion.
L'Obs : Quelque part entre l’introspection et l’enquête, le film examine le racisme larvé et pose la question : pourquoi la Terre promise n’était pas promise à tous ? L’émotion est palpable.
La Croix : C’est cette histoire que nous raconte la réalisatrice Michale Boganim dans son très beau documentaire. Il n’est pourtant pas question d’une description historique ou d’une analyse sociologique, mais bel et bien d’une histoire sensible d’exploration mémorielle.
Mizrahim, c’est le nom que donnent les israéliens aux juifs venus d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, victimes, dès leur arrivée sur la Terre Promise, d’un système discriminatoire qui fait d’eux des citoyens de seconde zone. Dans les années 70, un mouvement de révolte s’inspirant des Black Panthers aux États-Unis, émerge pour défendre leurs droits.
Confrontée au deuil de son père, ancien membre de ce mouvement, Michale Boganim part à la rencontre de plusieurs générations de Mizrahim. Sous la forme d’un road-movie, le film approche par l’intime les questions d’exil et de transmission.
L'Humanité : Plus que de simples transitions entre divers tableaux, les chants marocains juifs sont le fil rouge du film. Entre villes parcourues, enfants d’immigrés interviewés et souvenirs personnels confiés, Michale Boganim éclaire les fantômes du passé qui planent sur une Terre promise en proie à la désillusion.
L'Obs : Quelque part entre l’introspection et l’enquête, le film examine le racisme larvé et pose la question : pourquoi la Terre promise n’était pas promise à tous ? L’émotion est palpable.
La Croix : C’est cette histoire que nous raconte la réalisatrice Michale Boganim dans son très beau documentaire. Il n’est pourtant pas question d’une description historique ou d’une analyse sociologique, mais bel et bien d’une histoire sensible d’exploration mémorielle.
Mizrahim, les oubliés de la terre promise