Réalisateurs | Davidi Guy, Burnat Emad |
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Emad, paysan, vit à Bil’in en Cisjordanie. Il y a cinq ans, au milieu du village, Israël a élevé un "mur de séparation" qui exproprie les 1700 habitants de la moitié de leurs terres pour "protéger" la colonie juive. Les villageois de Bil’in s’engagent dès lors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres. Emad filme ce conflit dès le début pendant cinq ans. Avec sa caméra, il établit la chronique intime de la vie d’un village en ébullition, dressant le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ce conflit sans fin.
Oscar 2013 - Nomination meilleur documentaire
L’Humanité : "Emad Burnat signe un documentaire remarquable. Porté par la musique du Trio Joubran, ce film bouleversant porte en lui toute la puissance du genre documentaire."
Les Inrockuptibles : "On n’avait jamais évoqué de manière plus intime et précise la question des colonies israéliennes et leurs conséquences sur le terrain."
Les Fiches du cinéma : "Ce film remarquable relate la lutte pacifique de gens humbles face à une effroyable machine de terreur. Un récit tragique, qui ébranle profondément."
Les cahiers du cinéma : "Coréalisé par un Palestinien et un Israélien, "5 Caméras brisées" est à la fois un journal filmé et une œuvre militante."
- Nommé Aux Oscars dans la catégorie "meilleur documentaire" 2013
- Prix de la réalisation documentaire au Sundance film festival, 2012 (Etats-Unis)
- Prix Louis Marcorelles au festival international du documentaire le Cinéma du réel, 2012 (Paris)
- Prix du Meilleur Documentaire du Eurodok Film Festival, 2012 (Norvège)
Réalisation : Emad Burnat, Guy Davidi
Image : Emad Burnat
Son : Emad Burnat
Montage : Véronique Lagoarde-Ségot, Guy Davidi
Emad, paysan, vit à Bil’in en Cisjordanie. Il y a cinq ans, au milieu du village, Israël a élevé un "mur de séparation" qui exproprie les 1700 habitants de la moitié de leurs terres pour "protéger" la colonie juive. Les villageois de Bil’in s’engagent dès lors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres. Emad filme ce conflit dès le début pendant cinq ans. Avec sa caméra, il établit la chronique intime de la vie d’un village en ébullition, dressant le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ce conflit sans fin.
Oscar 2013 - Nomination meilleur documentaire
L’Humanité : "Emad Burnat signe un documentaire remarquable. Porté par la musique du Trio Joubran, ce film bouleversant porte en lui toute la puissance du genre documentaire."
Les Inrockuptibles : "On n’avait jamais évoqué de manière plus intime et précise la question des colonies israéliennes et leurs conséquences sur le terrain."
Les Fiches du cinéma : "Ce film remarquable relate la lutte pacifique de gens humbles face à une effroyable machine de terreur. Un récit tragique, qui ébranle profondément."
Les cahiers du cinéma : "Coréalisé par un Palestinien et un Israélien, "5 Caméras brisées" est à la fois un journal filmé et une œuvre militante."
- Nommé Aux Oscars dans la catégorie "meilleur documentaire" 2013
- Prix de la réalisation documentaire au Sundance film festival, 2012 (Etats-Unis)
- Prix Louis Marcorelles au festival international du documentaire le Cinéma du réel, 2012 (Paris)
- Prix du Meilleur Documentaire du Eurodok Film Festival, 2012 (Norvège)
Réalisation : Emad Burnat, Guy Davidi
Image : Emad Burnat
Son : Emad Burnat
Montage : Véronique Lagoarde-Ségot, Guy Davidi
5 caméras brisées