Réalisateur | Radu Jude |
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Emi, une enseignante, voit sa carrière et sa réputation menacées après la diffusion sur Internet d’une sextape tournée avec son mari. Forcée de rencontrer les parents d’élèves qui exigent son renvoi, Emi refuse de céder à leur pression, et questionne alors la place de l’obscénité dans nos sociétés.
Ours d'or au Festival de Berlin 2021
Les Fiches du cinéma : Le dernier Ours d’or fustige l’embaumement moral d’une société en l’immergeant dans sa propre soupe de sous-valeur, en prouvant que le pornographe est celui qui jouit de sa propre absence de regard.
Libération : C’est la force bluffante de Jude de nous donner à contempler ce monde que le cinéma semble avoir mis entre parenthèses, qui est dans la salle ou dans la chambre, et de nous le révéler comme réalité désolée et représentation allégorique. Cinéma capable de documenter de façon intempestive l’époque tout en la soumettant à la férule bouffonne de la dialectique.
Les Cahiers du cinéma : Entre la forme documentaire de cette ouverture porno amateur et la scénographie beaucoup plus théâtrale d’un tribunal populaire, le film retourne l’un après l’autre les éléments de la farce.
Culturopoing.com : Bad Luck Banging or Loony Porn arrive à point en cette fin décembre dans les salles françaises pour boucler en beauté une nouvelle année absurde d'hystérie, de confusion et de bêtise ubiquitaire en préférant poser sur cette désolante déliquescence généralisée un regard goguenard vivifiant.
Emi, une enseignante, voit sa carrière et sa réputation menacées après la diffusion sur Internet d’une sextape tournée avec son mari. Forcée de rencontrer les parents d’élèves qui exigent son renvoi, Emi refuse de céder à leur pression, et questionne alors la place de l’obscénité dans nos sociétés.
Ours d'or au Festival de Berlin 2021
Les Fiches du cinéma : Le dernier Ours d’or fustige l’embaumement moral d’une société en l’immergeant dans sa propre soupe de sous-valeur, en prouvant que le pornographe est celui qui jouit de sa propre absence de regard.
Libération : C’est la force bluffante de Jude de nous donner à contempler ce monde que le cinéma semble avoir mis entre parenthèses, qui est dans la salle ou dans la chambre, et de nous le révéler comme réalité désolée et représentation allégorique. Cinéma capable de documenter de façon intempestive l’époque tout en la soumettant à la férule bouffonne de la dialectique.
Les Cahiers du cinéma : Entre la forme documentaire de cette ouverture porno amateur et la scénographie beaucoup plus théâtrale d’un tribunal populaire, le film retourne l’un après l’autre les éléments de la farce.
Culturopoing.com : Bad Luck Banging or Loony Porn arrive à point en cette fin décembre dans les salles françaises pour boucler en beauté une nouvelle année absurde d'hystérie, de confusion et de bêtise ubiquitaire en préférant poser sur cette désolante déliquescence généralisée un regard goguenard vivifiant.
Bad luck banging or loony porn