Réalisateur | Soualem Lina |
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Hiam Abbass a quitté son village palestinien pour réaliser son rêve de devenir actrice en Europe, laissant derrière elle sa mère, sa grand-mère et ses sept sœurs. Trente ans plus tard, sa fille Lina, réalisatrice, retourne avec elle sur les traces des lieux disparus et des mémoires dispersées de quatre générations de femmes palestiniennes. Véritable tissage d’images du présent et d’archives familiales et historiques, le film devient l’exploration de la transmission de mémoire, de lieux, de féminité, de résistance, dans la vie de femmes qui ont appris à tout quitter et à tout recommencer.
FranceInfo Culture : Le voyage bouleversant, riche de photos personnelles et de vidéos d'époque, permet de comprendre à l’échelle d’une famille, les conséquences de la Nakba.
L'Humanité : Suivant le fil ténu et sensible de la mémoire, Lina Soualem inscrit l’histoire de sa mère et la sienne dans celle d’une lignée de femmes palestiniennes.
L'Obs : Sans relâche, Lina interroge Hiam, ausculte sa colère, convoque son tempérament (à travers des poèmes écrits par l’actrice dès ses 14 ans) et réussit avec une grande intelligence à faire passer au spectateur la notion de ce que peut-être l’enfermement.
Hiam Abbass a quitté son village palestinien pour réaliser son rêve de devenir actrice en Europe, laissant derrière elle sa mère, sa grand-mère et ses sept sœurs. Trente ans plus tard, sa fille Lina, réalisatrice, retourne avec elle sur les traces des lieux disparus et des mémoires dispersées de quatre générations de femmes palestiniennes. Véritable tissage d’images du présent et d’archives familiales et historiques, le film devient l’exploration de la transmission de mémoire, de lieux, de féminité, de résistance, dans la vie de femmes qui ont appris à tout quitter et à tout recommencer.
FranceInfo Culture : Le voyage bouleversant, riche de photos personnelles et de vidéos d'époque, permet de comprendre à l’échelle d’une famille, les conséquences de la Nakba.
L'Humanité : Suivant le fil ténu et sensible de la mémoire, Lina Soualem inscrit l’histoire de sa mère et la sienne dans celle d’une lignée de femmes palestiniennes.
L'Obs : Sans relâche, Lina interroge Hiam, ausculte sa colère, convoque son tempérament (à travers des poèmes écrits par l’actrice dès ses 14 ans) et réussit avec une grande intelligence à faire passer au spectateur la notion de ce que peut-être l’enfermement.
Bye bye Tiberiade