Réalisateurs | Pierre Carles, Eric Martin |
Partager sur |
Portrait à la serpe du sulfureux et subversif professeur Choron dans ce film tourné sur plusieurs années, jusqu’à sa mort et même après. Les réalisateurs nous plongent dans l’ambiance enfumée des rédactions de Hara-Kiri et Charlie Hebdo, dont Choron fut le cofondateur. Quarante ans plus tard, les rebelles ont rentré leurs griffes. Ils ont gommé le professeur Choron de la photo de famille. Il s’agissait pourtant d’un homme définitivement libre qui bravait les interdits et la morale de notre époque.
« Choron est né pauvre. Il est mort pauvre. Il a vécu comme un riche. Somptueux, généreux, honnête. Vous connaissez beaucoup de patrons à qui il est arrivé d’habiter dans une cave pendant que ses anciens employés pétaient dans la soie ? Pas primable, pas décorable, ininvitable à l’Élysée, le Choron. Grandiose. Ah oui, il ne faut pas oublier que c’était un génie du comique. Qu’il a fourni de la matière à plagiat pour encore plusieurs générations. » Delfeil de Ton
Brazil : "Les séquences savamment choisies s’enchaînent sur un tempo d’enfer. Le montage serré donne l’envie d’en redemander, encore et encore."
Positif : "Le film donne un portrait haut en couleur, bien digne du personnage."
L’Humanité : "Un film peu soigné, mais qui a la vertu de montrer l’animal dans toute sa splendeur et ses contradictions, entre vulgarité et lucidité."
Réalisation : Pierre Carles et Eric Martin
Image : Eric Maizy
Son : Bertrand Bourdin - Fabien Briand - Marie-Pierre Thomat
Interview : Xavier Naizet
Prémontage : Dimitri Darul
Montage : Pierre Carles assité de Ludovic Raynaud
Mixage : Cristinel Sirli
Portrait à la serpe du sulfureux et subversif professeur Choron dans ce film tourné sur plusieurs années, jusqu’à sa mort et même après. Les réalisateurs nous plongent dans l’ambiance enfumée des rédactions de Hara-Kiri et Charlie Hebdo, dont Choron fut le cofondateur. Quarante ans plus tard, les rebelles ont rentré leurs griffes. Ils ont gommé le professeur Choron de la photo de famille. Il s’agissait pourtant d’un homme définitivement libre qui bravait les interdits et la morale de notre époque.
« Choron est né pauvre. Il est mort pauvre. Il a vécu comme un riche. Somptueux, généreux, honnête. Vous connaissez beaucoup de patrons à qui il est arrivé d’habiter dans une cave pendant que ses anciens employés pétaient dans la soie ? Pas primable, pas décorable, ininvitable à l’Élysée, le Choron. Grandiose. Ah oui, il ne faut pas oublier que c’était un génie du comique. Qu’il a fourni de la matière à plagiat pour encore plusieurs générations. » Delfeil de Ton
Brazil : "Les séquences savamment choisies s’enchaînent sur un tempo d’enfer. Le montage serré donne l’envie d’en redemander, encore et encore."
Positif : "Le film donne un portrait haut en couleur, bien digne du personnage."
L’Humanité : "Un film peu soigné, mais qui a la vertu de montrer l’animal dans toute sa splendeur et ses contradictions, entre vulgarité et lucidité."
Réalisation : Pierre Carles et Eric Martin
Image : Eric Maizy
Son : Bertrand Bourdin - Fabien Briand - Marie-Pierre Thomat
Interview : Xavier Naizet
Prémontage : Dimitri Darul
Montage : Pierre Carles assité de Ludovic Raynaud
Mixage : Cristinel Sirli
Choron dernière