Réalisateur | Damiani Damiano |
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Pour se débarrasser d’un promoteur corrompu qu’il n’est jamais arrivé à faire condamner, un policier décide d’avoir recours à des méthodes illégales.
Le Monde : "A cause de la parenté des titres, on s’attend plus ou moins à ce que le film de Damiano Damiani, Confession d’un commissaire de police au procureur de la République, ressemble à celui d’Elio Petri, Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon. De fait, les deux ouvrages ont quelques points communs, en ce sens qu’ils mettent en cause le fonctionnement de la justice et la justice et la moralité des hommes (policiers ou magistrats) qui sont à son service. Mais, alors que c’était au principe même de l’autorité, telle qu’elle s’exerce dans le " système ", et des prérogatives du pouvoir, que s’attaquait Pétri, Damiani, lui, s’en tient aux faits et dénonce, à la suite de Francesco Rosi (Main basse sur la ville) et de plusieurs autres réalisateurs italiens, la corruption des hauts fonctionnaires et l’omnipotence de la Maffia italienne."
Rueducine.com : "Pour Damiani, réalisateur de gauche, auteur du western marxiste "El Chuncho", l’Italie est en plein cauchemar. Elle traverse ce qui seront les années de plomb, elle est gangrenée par la mafia et la corruption empêche toute réaction. Damiano Damiani avec ce film signe une de ses œuvres les plus belles."
Pour se débarrasser d’un promoteur corrompu qu’il n’est jamais arrivé à faire condamner, un policier décide d’avoir recours à des méthodes illégales.
Le Monde : "A cause de la parenté des titres, on s’attend plus ou moins à ce que le film de Damiano Damiani, Confession d’un commissaire de police au procureur de la République, ressemble à celui d’Elio Petri, Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon. De fait, les deux ouvrages ont quelques points communs, en ce sens qu’ils mettent en cause le fonctionnement de la justice et la justice et la moralité des hommes (policiers ou magistrats) qui sont à son service. Mais, alors que c’était au principe même de l’autorité, telle qu’elle s’exerce dans le " système ", et des prérogatives du pouvoir, que s’attaquait Pétri, Damiani, lui, s’en tient aux faits et dénonce, à la suite de Francesco Rosi (Main basse sur la ville) et de plusieurs autres réalisateurs italiens, la corruption des hauts fonctionnaires et l’omnipotence de la Maffia italienne."
Rueducine.com : "Pour Damiani, réalisateur de gauche, auteur du western marxiste "El Chuncho", l’Italie est en plein cauchemar. Elle traverse ce qui seront les années de plomb, elle est gangrenée par la mafia et la corruption empêche toute réaction. Damiano Damiani avec ce film signe une de ses œuvres les plus belles."
Confession d’un commissaire de police au proc...
Offrir "Confession d’un commissaire de police au procureur de la République" à un ami