Réalisateur | Jourdain Loïc |
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Sur l’île irlandaise d’Inishboffin, on est pêcheurs de père en fils. Alors, quand une nouvelle réglementation de l’Union Européenne prive John O’Brien de son mode de vie ancestral, il prend la tête d’une croisade pour faire valoir le simple droit des autochtones à vivre de leurs ressources traditionnelles. Fédérant ONG, pêcheurs de toute l’Europe et simples citoyens, John va braver pendant 8 ans les lobbies industriels et prouver, des côtes du Donegal aux couloirs de Bruxelles, qu’une autre Europe est possible.
Le Monde : « C’est tout à la fois un précieux document sur les dysfonctionnements de l’Union européenne, un émouvant témoignage sur le quotidien et les traditions d’une communauté, et le portrait d’un homme qui apprend peu à peu à se défendre et à faire entendre sa voix. »
Libération : « A travers le héros, le film parcourt et donne chair avec une vigueur tendre à la fois aux logiques bruxelloises, aux circuits déraisonnés de la mondialisation et à ce combat à fronts renversés entre artisans-pêcheurs et stratégies environnementales. »
L’Humanité : « Le parti pris manifeste de Loïc Jourdain, loin de l’aveugler, lui permet de privilégier l’observation, de faire place à l’incertain, à l’irrésolu, donc aux possibles »
Sur l’île irlandaise d’Inishboffin, on est pêcheurs de père en fils. Alors, quand une nouvelle réglementation de l’Union Européenne prive John O’Brien de son mode de vie ancestral, il prend la tête d’une croisade pour faire valoir le simple droit des autochtones à vivre de leurs ressources traditionnelles. Fédérant ONG, pêcheurs de toute l’Europe et simples citoyens, John va braver pendant 8 ans les lobbies industriels et prouver, des côtes du Donegal aux couloirs de Bruxelles, qu’une autre Europe est possible.
Le Monde : « C’est tout à la fois un précieux document sur les dysfonctionnements de l’Union européenne, un émouvant témoignage sur le quotidien et les traditions d’une communauté, et le portrait d’un homme qui apprend peu à peu à se défendre et à faire entendre sa voix. »
Libération : « A travers le héros, le film parcourt et donne chair avec une vigueur tendre à la fois aux logiques bruxelloises, aux circuits déraisonnés de la mondialisation et à ce combat à fronts renversés entre artisans-pêcheurs et stratégies environnementales. »
L’Humanité : « Le parti pris manifeste de Loïc Jourdain, loin de l’aveugler, lui permet de privilégier l’observation, de faire place à l’incertain, à l’irrésolu, donc aux possibles »
Des lois et des hommes