Réalisateur | Collectif En sortant de l'école |
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Une collection de 13 courts métrages d’animation de 3 minutes, qui se propose d’associer poétiquement, dans la liberté artistique la plus exigeante, 13 poèmes de Guillaume Apollinaire à l’univers graphique de jeunes réalisateurs tout juste sortis des écoles d’animation françaises.
La collection a déjà exploré les univers poétiques de Robert Desnos, Jacques Prévert, Paul Eluard, Claude Roy, Jean Tardieu et Andrée Chedid, permettant d’offrir à de jeunes talents l’occasion de réaliser un premier film dans des conditions réelles de production, et rendre accessible aux enfants l’univers et les mots de nos poètes.
Je me souviens de mon enfance de Marie de Lapparent : Au cours d’une fête, un homme se laisse glisser dans un souvenir d’enfance. Il va vivre une tempête dans un verre d’eau !
Automne de Hugo de Faucompret : Un homme et son bœuf arpentent les routes au gré des saisons, témoins de leurs caprices et de leurs surprises.
Fusée-signal de Caroline Cherrier : Un soldat blessé est transporté à l’arrière d’une ambulance. À la lumière d’une fusée éclairante, son voyage se transforme en une expérience troublante.
Le pont Mirabeau de Marjorie Caup : Une plongée abstraite dans l’eau de ce poème qui mêle les amours perdues au flot des souvenirs émouvants.
Le Coin de Charlie Belin : Ils attendent dans la rue qu’on leur donne du travail, du pain, un regard. Mais ils ne nous attendent pas pour chercher à être heureux.
Mutation de Loïc Espuche : Un homme part à la guerre. De bouleversements en métamorphoses, le conflit le change en grands cris Eh ! Oh ! Ah !
Saltimbanques de Momo Fang et Wen Fan : La troupe des musiciens arrive au village et bouleverse joyeusement, musicalement, l’ordre établi. Quelle fête !
Un oiseau chante de Mathieu Gouriou : Le chant d’un oiseau accompagne et réchauffe la vie d’un soldat plongé dans la vie des tranchées.
Le Bestiaire ou Cortège d’Orphée de Florent Grattery : Durant son voyage, le poète partage avec nous les méandres de la création à travers le portrait puissant de cinq animaux.
Le repas de Emilie Phuong : Deux frères se retrouvent pour un repas un peu spécial qui les plonge dans le souvenir d’une belle après-midi de leur enfance.
Ville et cœur de Anne-Sophie Raimond : Quand le cœur du poète bat au rythme de la ville, virevolte avec les girouettes, la vie jaillit en feu d’artifice.
À toutes les dingotes et à tous les dingos de Augustin Guichot : Un homme au bord du dernier souffle, appelé par la musique, reprend vie pour une ode à la fête.
Carte postale de Fabienne Wagenaar : Une femme attend des nouvelles de son homme, parti à la guerre. Elle imagine sa vie jusqu’à l’arrivée d’une carte postale.
Une collection de 13 courts métrages d’animation de 3 minutes, qui se propose d’associer poétiquement, dans la liberté artistique la plus exigeante, 13 poèmes de Guillaume Apollinaire à l’univers graphique de jeunes réalisateurs tout juste sortis des écoles d’animation françaises.
La collection a déjà exploré les univers poétiques de Robert Desnos, Jacques Prévert, Paul Eluard, Claude Roy, Jean Tardieu et Andrée Chedid, permettant d’offrir à de jeunes talents l’occasion de réaliser un premier film dans des conditions réelles de production, et rendre accessible aux enfants l’univers et les mots de nos poètes.
Je me souviens de mon enfance de Marie de Lapparent : Au cours d’une fête, un homme se laisse glisser dans un souvenir d’enfance. Il va vivre une tempête dans un verre d’eau !
Automne de Hugo de Faucompret : Un homme et son bœuf arpentent les routes au gré des saisons, témoins de leurs caprices et de leurs surprises.
Fusée-signal de Caroline Cherrier : Un soldat blessé est transporté à l’arrière d’une ambulance. À la lumière d’une fusée éclairante, son voyage se transforme en une expérience troublante.
Le pont Mirabeau de Marjorie Caup : Une plongée abstraite dans l’eau de ce poème qui mêle les amours perdues au flot des souvenirs émouvants.
Le Coin de Charlie Belin : Ils attendent dans la rue qu’on leur donne du travail, du pain, un regard. Mais ils ne nous attendent pas pour chercher à être heureux.
Mutation de Loïc Espuche : Un homme part à la guerre. De bouleversements en métamorphoses, le conflit le change en grands cris Eh ! Oh ! Ah !
Saltimbanques de Momo Fang et Wen Fan : La troupe des musiciens arrive au village et bouleverse joyeusement, musicalement, l’ordre établi. Quelle fête !
Un oiseau chante de Mathieu Gouriou : Le chant d’un oiseau accompagne et réchauffe la vie d’un soldat plongé dans la vie des tranchées.
Le Bestiaire ou Cortège d’Orphée de Florent Grattery : Durant son voyage, le poète partage avec nous les méandres de la création à travers le portrait puissant de cinq animaux.
Le repas de Emilie Phuong : Deux frères se retrouvent pour un repas un peu spécial qui les plonge dans le souvenir d’une belle après-midi de leur enfance.
Ville et cœur de Anne-Sophie Raimond : Quand le cœur du poète bat au rythme de la ville, virevolte avec les girouettes, la vie jaillit en feu d’artifice.
À toutes les dingotes et à tous les dingos de Augustin Guichot : Un homme au bord du dernier souffle, appelé par la musique, reprend vie pour une ode à la fête.
Carte postale de Fabienne Wagenaar : Une femme attend des nouvelles de son homme, parti à la guerre. Elle imagine sa vie jusqu’à l’arrivée d’une carte postale.
En sortant de l'école : Apollinaire