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Enfin des bonnes nouvelles


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Réalisateur

Glenn Vincent

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Ils étaient au chômage, ils sont devenus immensément riches en un temps record, et bien sûr, ça leur pose quelques problèmes...mais ce n’est pas l’essentiel. L’essentiel, c’est qu’entre-temps ils ont complètement bouleversé l’économie mondiale. Comment s’y sont-ils pris ? C’est ce que cherche à comprendre l’animateur vedette de Radio France Plurielle, la jeune et très populaire station de radio publique. Au commencement, une idée simple, une simple idée... Propulsé par les énergies renouvelables de la fiction et de l’humour, Enfin des bonnes nouvelles invite chacun-e à prendre du recul par rapport à son quotidien pour mieux réfléchir aux moyens de le transformer. « Ne haïssez pas les médias... soyez les médias ! » disait un slogan de mai 68. Quarante ans plus tard, de plus en plus d’initiatives ont pris l’expression au pied de la lettre et cherchent à redonner un sens fort à l’action d’informer et de s’informer : permettre de se situer et se donner les moyens d’agir sur le cours de « la vie de la cité ». En ce sens, Enfin des bonnes nouvelles nous livre une grille de lecture qui rappelle une phrase de Victor Hugo : « on peut résister à l’invasion d’une armée, pas à celle d’une idée dont le temps est venu ».

La démarche originale de Vincent Glenn

Dans la décennie 2000, Vincent Glenn a réalisé une série de documentaires pour le cinéma, qui ont accompagné l’émergence du mouvement altermondialiste, très riches en idées, des films posant quelques interrogations fondamentales :

Davos, Porto Alegre et autres batailles (2003), met en regard le forum économique mondial de Davos (Suisse) et le premier Forum social mondial de Porto Alegre qui se sont déroulés simultanément en janvier 2001 ;
Pas assez de volume (notes sur l’OMC) (2004), sur le fonctionnement de l’Organisation Mondiale du Commerce ;
Indices qui s’interrogeait sur la pertinence du PIB comme indicateur de mesure du « niveau de vie des nations »*.

Ces trois films documentent ce qui a probablement était un des mouvements les plus encourageant dans un période où les idées anticapitalistes sont revenues en force après la torpeur des années 90 et avant l’offensive idéologique ultra-libérale très violente que nous vivons depuis des années.

Avec Enfin des bonnes nouvelles sorti au cinéma en 2016, Vincent Glenn poursuit cette démarche "altermondialiste" adaptée la situation et pose quelques questions de notre temps : Comment produire un imaginaire positif et constructif dans ce contexte politique si pauvre en idées et si mortifère ?

Son rêve de cinéaste-citoyen engagé est de tenter faire émerger une dynamique politique faite de propositions et pas seulement des combats d’opposition. Vincent Glenn s’interroge : " Comment faire exister une anticipation constructive et réunissant largement, au-delà des indispensables résistances aux abus de tous ordres ? Comment être à la fois social et écolo sans sombrer dans les constats d’impuissance et la déprime totale ? Enfin des bonnes nouvelles c’était l’envie de proposer quelque chose en réponse à ces questions. Vous désespérez de la gauche ? Ça devrait vous faire du bien de voir ce film."

Cette proposition originale sort effectivement des sentiers battus avec un dynamisme stimulant, tout en restant drôle dans la forme et le ton. A regarder donc dans cet état d’esprit constructif qui est celui du réalisateur, dont le sens de l’autodérision n’est cependant jamais noyé par une quelconque prétention à véritablement prendre le pouvoir sur les choses. Poussant la logique jusqu’au bout, le cinéaste s’est cependant présenté aux élections législatives dans la 7e circonscription de Seine Saint-Denis, poussant ainsi son engagement d’observateur critique à essayer de mettre les mains dans le cambouis. Ses 0,5% des voix n’ont pas suffit à le faire élire ni à vraiment le décourage car il continue à proposer des idée avec la même passion qui fait de Vincent Glenn un personnage particulièrement attachant.

Vincent Glenn a aussi co-écrit avec Christophe Alévêque Le Tour de la dette en 80 minutes ainsi que On marche sur la dette. Il est le cofondateur de la coopérative de diffusion Co-errances en 2003 et la coopérative de production et distribution DHR (Direction Humaine des Ressources) en 2006.

Olivier Azam, Les Mutins de Pangée

GÉNÉRIQUE

Scénario : Antoine Dumontet / Philippe Larue Frédéric Riclet / Barbera Visser
Image : Nara Keo Kosal / Jean-Luc Cohen / Philippe Vène / Philippe Elusse
Montage : François Carlier
Casting : Dan Herzberg
Son : Victor Loeillet / Clément Chauvelle Phil Grivel /Vincent Glenn
Musique : Tony Allen / General Elektriks / Pierre Boscheron / Fantazio /
Une coproduction : Direction Humaine des Ressources (DHR) / Ciaofilm / Callysta Productions / Brodkast Studios / Sentinelles Éternelles / Dinosaures / Studio Orlando
Avec la participation de : Théâtre et Cinéma Jacques Prévert / Comet Records / Les Ateliers du réel / Peyrat et Associés / Emael Films / Mas O Menos
Un film produit par : Thierry Derocles / Eric Lebel / Moïra Chappedelaine-Vautier

 


  • Enfin des bonnes nouvelles

    Enfin des bonnes nouvelles


    Langue : Multilingue
  • Année de sortie 2016
  • Pays de production France
  • Langue VF
  • Durée 1h30
  • Identifiant Allociné 250254

Ils étaient au chômage, ils sont devenus immensément riches en un temps record, et bien sûr, ça leur pose quelques problèmes...mais ce n’est pas l’essentiel. L’essentiel, c’est qu’entre-temps ils ont complètement bouleversé l’économie mondiale. Comment s’y sont-ils pris ? C’est ce que cherche à comprendre l’animateur vedette de Radio France Plurielle, la jeune et très populaire station de radio publique. Au commencement, une idée simple, une simple idée... Propulsé par les énergies renouvelables de la fiction et de l’humour, Enfin des bonnes nouvelles invite chacun-e à prendre du recul par rapport à son quotidien pour mieux réfléchir aux moyens de le transformer. « Ne haïssez pas les médias... soyez les médias ! » disait un slogan de mai 68. Quarante ans plus tard, de plus en plus d’initiatives ont pris l’expression au pied de la lettre et cherchent à redonner un sens fort à l’action d’informer et de s’informer : permettre de se situer et se donner les moyens d’agir sur le cours de « la vie de la cité ». En ce sens, Enfin des bonnes nouvelles nous livre une grille de lecture qui rappelle une phrase de Victor Hugo : « on peut résister à l’invasion d’une armée, pas à celle d’une idée dont le temps est venu ».

La démarche originale de Vincent Glenn

Dans la décennie 2000, Vincent Glenn a réalisé une série de documentaires pour le cinéma, qui ont accompagné l’émergence du mouvement altermondialiste, très riches en idées, des films posant quelques interrogations fondamentales :

Davos, Porto Alegre et autres batailles (2003), met en regard le forum économique mondial de Davos (Suisse) et le premier Forum social mondial de Porto Alegre qui se sont déroulés simultanément en janvier 2001 ;
Pas assez de volume (notes sur l’OMC) (2004), sur le fonctionnement de l’Organisation Mondiale du Commerce ;
Indices qui s’interrogeait sur la pertinence du PIB comme indicateur de mesure du « niveau de vie des nations »*.

Ces trois films documentent ce qui a probablement était un des mouvements les plus encourageant dans un période où les idées anticapitalistes sont revenues en force après la torpeur des années 90 et avant l’offensive idéologique ultra-libérale très violente que nous vivons depuis des années.

Avec Enfin des bonnes nouvelles sorti au cinéma en 2016, Vincent Glenn poursuit cette démarche "altermondialiste" adaptée la situation et pose quelques questions de notre temps : Comment produire un imaginaire positif et constructif dans ce contexte politique si pauvre en idées et si mortifère ?

Son rêve de cinéaste-citoyen engagé est de tenter faire émerger une dynamique politique faite de propositions et pas seulement des combats d’opposition. Vincent Glenn s’interroge : " Comment faire exister une anticipation constructive et réunissant largement, au-delà des indispensables résistances aux abus de tous ordres ? Comment être à la fois social et écolo sans sombrer dans les constats d’impuissance et la déprime totale ? Enfin des bonnes nouvelles c’était l’envie de proposer quelque chose en réponse à ces questions. Vous désespérez de la gauche ? Ça devrait vous faire du bien de voir ce film."

Cette proposition originale sort effectivement des sentiers battus avec un dynamisme stimulant, tout en restant drôle dans la forme et le ton. A regarder donc dans cet état d’esprit constructif qui est celui du réalisateur, dont le sens de l’autodérision n’est cependant jamais noyé par une quelconque prétention à véritablement prendre le pouvoir sur les choses. Poussant la logique jusqu’au bout, le cinéaste s’est cependant présenté aux élections législatives dans la 7e circonscription de Seine Saint-Denis, poussant ainsi son engagement d’observateur critique à essayer de mettre les mains dans le cambouis. Ses 0,5% des voix n’ont pas suffit à le faire élire ni à vraiment le décourage car il continue à proposer des idée avec la même passion qui fait de Vincent Glenn un personnage particulièrement attachant.

Vincent Glenn a aussi co-écrit avec Christophe Alévêque Le Tour de la dette en 80 minutes ainsi que On marche sur la dette. Il est le cofondateur de la coopérative de diffusion Co-errances en 2003 et la coopérative de production et distribution DHR (Direction Humaine des Ressources) en 2006.

Olivier Azam, Les Mutins de Pangée

GÉNÉRIQUE

Scénario : Antoine Dumontet / Philippe Larue Frédéric Riclet / Barbera Visser
Image : Nara Keo Kosal / Jean-Luc Cohen / Philippe Vène / Philippe Elusse
Montage : François Carlier
Casting : Dan Herzberg
Son : Victor Loeillet / Clément Chauvelle Phil Grivel /Vincent Glenn
Musique : Tony Allen / General Elektriks / Pierre Boscheron / Fantazio /
Une coproduction : Direction Humaine des Ressources (DHR) / Ciaofilm / Callysta Productions / Brodkast Studios / Sentinelles Éternelles / Dinosaures / Studio Orlando
Avec la participation de : Théâtre et Cinéma Jacques Prévert / Comet Records / Les Ateliers du réel / Peyrat et Associés / Emael Films / Mas O Menos
Un film produit par : Thierry Derocles / Eric Lebel / Moïra Chappedelaine-Vautier

 


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    Langue : Multilingue
  • Année de sortie 2016
  • Pays de production France
  • Langue VF
  • Durée 1h30
  • Identifiant Allociné 250254

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