Réalisateur | Gomes Miguel |
Partager sur |
Rangoon, Birmanie, 1918. Edward, fonctionnaire de l’Empire britannique, s’enfuit le jour où il devait épouser sa fiancée Molly. Déterminée à se marier, Molly part à la recherche d’Edward et suit les traces de son Grand Tour à travers l’Asie.
Les Cahiers du cinéma : Grand Tour est un film qui invente ses propres règles et les expose clairement, à la manière d’un jeu libre plus que d’un dispositif, s’amusant avec la narration et les matériaux, plutôt que de les soumettre à un principe théorique.
L'Humanité : Ces allers-retours d’un régime visuel à l’autre compliquent la situation figurative induite par l’histoire de ce couple, somme toute anecdotique, et donnent à Grand Tour une touffeur rare au cinéma. Y apparaît, vers la fin, un très beau personnage, Ngoc (Lang-Khê Tran), domestique dans une maison d’un riche propriétaire, qui ouvre son monde à Molly. À son contact, le film confirme ce que le spectateur sentait depuis le départ : l’essentiel, ici, est dans les à-côtés.
Culturopoing.com : Gomes filme magistralement la libération des croyances, le désapprentissage de l’amour individuel, ce détachement du carcan occidental par l’observation et l’écoute, la défection de l’égoïsme pour l’amour du pluralisme.
Rangoon, Birmanie, 1918. Edward, fonctionnaire de l’Empire britannique, s’enfuit le jour où il devait épouser sa fiancée Molly. Déterminée à se marier, Molly part à la recherche d’Edward et suit les traces de son Grand Tour à travers l’Asie.
Les Cahiers du cinéma : Grand Tour est un film qui invente ses propres règles et les expose clairement, à la manière d’un jeu libre plus que d’un dispositif, s’amusant avec la narration et les matériaux, plutôt que de les soumettre à un principe théorique.
L'Humanité : Ces allers-retours d’un régime visuel à l’autre compliquent la situation figurative induite par l’histoire de ce couple, somme toute anecdotique, et donnent à Grand Tour une touffeur rare au cinéma. Y apparaît, vers la fin, un très beau personnage, Ngoc (Lang-Khê Tran), domestique dans une maison d’un riche propriétaire, qui ouvre son monde à Molly. À son contact, le film confirme ce que le spectateur sentait depuis le départ : l’essentiel, ici, est dans les à-côtés.
Culturopoing.com : Gomes filme magistralement la libération des croyances, le désapprentissage de l’amour individuel, ce détachement du carcan occidental par l’observation et l’écoute, la défection de l’égoïsme pour l’amour du pluralisme.
Grand tour