Réalisateur | Leonardo Van Dijl |
Partager sur |
Julie, une star montante du tennis évoluant dans un club prestigieux, consacre toute sa vie à son sport. Lorsque l’entraîneur qui pourrait la propulser vers les sommets est suspendu soudainement et qu’une enquête est ouverte, tous les joueurs du club sont encouragés à partager leur histoire. Mais Julie décide de garder le silence…
Les Inrockuptibles : Dans sa tourmente et son horizon éclairci, "Julie se tait" s’écoute et se regarde comme une élégie, appelle à une forme de recueillement silencieux mais terriblement manifeste.
Bande à part : Leonardo Van Dijl imprime sa marque avec son premier film long, au propos fort et à la maîtrise rare. Ce parcours minutieux de la renaissance d’une jeune sportive abusée happe par sa méticulosité bienveillante.
Ecran large : Porté par l’excellente Tessa Van den Broeck, "Julie se tait" fait tous les bons choix pour aborder ce sujet avec la distance et l’intelligence nécessaires, et pour véritablement raconter quelque chose de précieux.
L'Obs : La grande subtilité de ce film percutant, pourtant presque immobile, tient aussi à sa grande violence : suspendu à son déni, il n’a pas d’autre levier qu’attendre une réaction de la joueuse.
Semaine de la Critique 2024, Festival de Cannes
Prix Fondation Gan à la Diffusion
Prix SACD
Julie, une star montante du tennis évoluant dans un club prestigieux, consacre toute sa vie à son sport. Lorsque l’entraîneur qui pourrait la propulser vers les sommets est suspendu soudainement et qu’une enquête est ouverte, tous les joueurs du club sont encouragés à partager leur histoire. Mais Julie décide de garder le silence…
Les Inrockuptibles : Dans sa tourmente et son horizon éclairci, "Julie se tait" s’écoute et se regarde comme une élégie, appelle à une forme de recueillement silencieux mais terriblement manifeste.
Bande à part : Leonardo Van Dijl imprime sa marque avec son premier film long, au propos fort et à la maîtrise rare. Ce parcours minutieux de la renaissance d’une jeune sportive abusée happe par sa méticulosité bienveillante.
Ecran large : Porté par l’excellente Tessa Van den Broeck, "Julie se tait" fait tous les bons choix pour aborder ce sujet avec la distance et l’intelligence nécessaires, et pour véritablement raconter quelque chose de précieux.
L'Obs : La grande subtilité de ce film percutant, pourtant presque immobile, tient aussi à sa grande violence : suspendu à son déni, il n’a pas d’autre levier qu’attendre une réaction de la joueuse.
Semaine de la Critique 2024, Festival de Cannes
Prix Fondation Gan à la Diffusion
Prix SACD
Julie se tait