Réalisateurs | Burlaud Nicolas, Ach Sandra, Hakenholz Thomas |
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De La Commune, qui, 150 ans plus tard, irrigue et enflamme le récit de « La Bataille de la Plaine ».
La Plaine ? un quartier marseillais bouillonnant, une grande place, un marché historique et populaire.
La bataille ? Une confrontation tumultueuse entre d’un côté les services d’urbanisme de la mairie, déterminés à mener un important programme de ”requalification” du quartier. De l’autre, une partie des habitant·e·s, qui refusent cette opération de gentrification, et réclament d’être associé·e·s aux décisions. Cette histoire épique dure 3 ans et se termine brutalement par l’invraisemblable construction d’un mur en béton de 2m50 de haut tout autour de la place.
La télévision du quartier, outil de contre-propagande tout au long de cette bataille, refuse de s’arrêter au constat d’une défaite et s’interroge. Le cinéma peut-il raconter ce qu’on est sûr.es d’avoir vécu mais que le récit des vainqueurs, gravé dans le marbre, voudrait effacer pour toujours ?
Convoquant les Communes Libres de 1871, leur rage joyeuse et enflammée, une écriture singulière s’empare alors de la fiction pour entretenir un imaginaire politique enthousiaste sur lequel les autres pourront s’appuyer demain. Pour faire de ce combat collectif une aventure humaine victorieuse, où une autre façon de fabriquer la ville et le monde s’entrevoient.
De La Commune, qui, 150 ans plus tard, irrigue et enflamme le récit de « La Bataille de la Plaine ».
La Plaine ? un quartier marseillais bouillonnant, une grande place, un marché historique et populaire.
La bataille ? Une confrontation tumultueuse entre d’un côté les services d’urbanisme de la mairie, déterminés à mener un important programme de ”requalification” du quartier. De l’autre, une partie des habitant·e·s, qui refusent cette opération de gentrification, et réclament d’être associé·e·s aux décisions. Cette histoire épique dure 3 ans et se termine brutalement par l’invraisemblable construction d’un mur en béton de 2m50 de haut tout autour de la place.
La télévision du quartier, outil de contre-propagande tout au long de cette bataille, refuse de s’arrêter au constat d’une défaite et s’interroge. Le cinéma peut-il raconter ce qu’on est sûr.es d’avoir vécu mais que le récit des vainqueurs, gravé dans le marbre, voudrait effacer pour toujours ?
Convoquant les Communes Libres de 1871, leur rage joyeuse et enflammée, une écriture singulière s’empare alors de la fiction pour entretenir un imaginaire politique enthousiaste sur lequel les autres pourront s’appuyer demain. Pour faire de ce combat collectif une aventure humaine victorieuse, où une autre façon de fabriquer la ville et le monde s’entrevoient.
La bataille de la plaine