Réalisateur | Gilles Deroo, Marianne Pistone |
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D’après l’ouvrage de Michel Foucault, la chute d’un homme condamné pour infamie.
Les Cahiers du cinéma : Deroo et Pistonne rendent à un nom dont il ne reste presque aucune mémoire, non seulement un récit, mais surtout un corps et un rapport à ce qui est.
Le Monde : La Vie des hommes infâmes, projet d’écriture de Michel Foucault (1926-1984), durant la seconde moitié des années 1970, est le fruit d’investigations du philosophe dans des archives d’internement de la Bastille, datant du début du XVIIIe siècle. C’est aussi le titre du film de Marianne Pistone et Gilles Deroo, épure lumineuse qui donne corps, dans une succession de chapitres, à l’un de ces êtres dits « obscurs », ou non fameux, qui furent dénoncés et condamnés par la justice.
Les Inrockuptibles : “La Vie des hommes infâmes” est un grand film, à ranger immédiatement aux côtés de Robert Bresson ou Albert Serra.
D’après l’ouvrage de Michel Foucault, la chute d’un homme condamné pour infamie.
Les Cahiers du cinéma : Deroo et Pistonne rendent à un nom dont il ne reste presque aucune mémoire, non seulement un récit, mais surtout un corps et un rapport à ce qui est.
Le Monde : La Vie des hommes infâmes, projet d’écriture de Michel Foucault (1926-1984), durant la seconde moitié des années 1970, est le fruit d’investigations du philosophe dans des archives d’internement de la Bastille, datant du début du XVIIIe siècle. C’est aussi le titre du film de Marianne Pistone et Gilles Deroo, épure lumineuse qui donne corps, dans une succession de chapitres, à l’un de ces êtres dits « obscurs », ou non fameux, qui furent dénoncés et condamnés par la justice.
Les Inrockuptibles : “La Vie des hommes infâmes” est un grand film, à ranger immédiatement aux côtés de Robert Bresson ou Albert Serra.
La vie des hommes infâmes