Réalisateur | Patricio Guzmán |
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Le bouton de nacre est une histoire sur l’eau, le Cosmos et nous. Elle part de deux mystérieux boutons découverts au fond de l’Océan Pacifique, près des côtes chiliennes aux paysages surnaturels de volcans, de montagnes et de glaciers. A travers leur histoire, nous entendons la parole des indigènes de Patagonie, celle des premiers navigateurs anglais et celle des prisonniers politiques. Certains disent que l’eau a une mémoire. Ce film montre qu’elle a aussi une voix.
Ce film est le deuxième de la trilogie réalisée par Patricio Guzmán. Il est précédé de Nostalgie de la lumière (2010)
et suvi de La cordillère des songes (2019)
Festival de Berlin 2015, Ours d’argent du scénario
César 2016, nomination pour le meilleur documentaire
Lumières 2016, prix du meilleur documentaire
Critikat.com : Impressionnant. Voilà le seul mot qui puisse espérer décrire l’intelligence, la beauté, et l’humanité profonde du dernier opus de Patricio Guzmán.
Le Dauphiné libéré : À partir d’une goutte d’eau qui a traversé des millénaires et qui se retrouve fossilisée à l’intérieur d’un bloc de quartz, Patricio Guzman remonte loin dans le temps et dans l’espace, du côté des origines. Mais aussi dans l’histoire récente de son pays, le Chili, en reliant les peuplades anciennes aux victimes récentes. Un grand film !
Le Monde : Patricio Guzman filme avec brio l'histoire de son pays, dans toute sa violence et sa poésie.
Les fiches du cinéma : Patricio Guzmán livre un nouvel objet cinématographique magnifiquement filmé et parfaitement maîtrisé, parvenant en un tour de force formel à mettre au jour l'histoire de son pays.
Positif : Des anecdotes empreintes d'une tendre nostalgie, issues d'ethnies encore présentes, contribuent également à la beauté et à la grandeur humaniste de cette fascinante oeuvre circulaire.
Cahiers du cinéma : Le filmage esquive de justesse une patine glacée « à la National Geographic » (…). Mais sa démarche emporte la mise par sa démarche qui produit, au bout du trajet, un vertige singulier.
La Croix : Le grand talent du réalisateur consiste à mêler plusieurs niveaux de réalité, plusieurs plages temporelles. Cette confrontation avec l’intangible n’affaiblit pas le crime de l’homme, ni sa dénonciation. Bien au contraire.
Le bouton de nacre est une histoire sur l’eau, le Cosmos et nous. Elle part de deux mystérieux boutons découverts au fond de l’Océan Pacifique, près des côtes chiliennes aux paysages surnaturels de volcans, de montagnes et de glaciers. A travers leur histoire, nous entendons la parole des indigènes de Patagonie, celle des premiers navigateurs anglais et celle des prisonniers politiques. Certains disent que l’eau a une mémoire. Ce film montre qu’elle a aussi une voix.
Ce film est le deuxième de la trilogie réalisée par Patricio Guzmán. Il est précédé de Nostalgie de la lumière (2010)
et suvi de La cordillère des songes (2019)
Festival de Berlin 2015, Ours d’argent du scénario
César 2016, nomination pour le meilleur documentaire
Lumières 2016, prix du meilleur documentaire
Critikat.com : Impressionnant. Voilà le seul mot qui puisse espérer décrire l’intelligence, la beauté, et l’humanité profonde du dernier opus de Patricio Guzmán.
Le Dauphiné libéré : À partir d’une goutte d’eau qui a traversé des millénaires et qui se retrouve fossilisée à l’intérieur d’un bloc de quartz, Patricio Guzman remonte loin dans le temps et dans l’espace, du côté des origines. Mais aussi dans l’histoire récente de son pays, le Chili, en reliant les peuplades anciennes aux victimes récentes. Un grand film !
Le Monde : Patricio Guzman filme avec brio l'histoire de son pays, dans toute sa violence et sa poésie.
Les fiches du cinéma : Patricio Guzmán livre un nouvel objet cinématographique magnifiquement filmé et parfaitement maîtrisé, parvenant en un tour de force formel à mettre au jour l'histoire de son pays.
Positif : Des anecdotes empreintes d'une tendre nostalgie, issues d'ethnies encore présentes, contribuent également à la beauté et à la grandeur humaniste de cette fascinante oeuvre circulaire.
Cahiers du cinéma : Le filmage esquive de justesse une patine glacée « à la National Geographic » (…). Mais sa démarche emporte la mise par sa démarche qui produit, au bout du trajet, un vertige singulier.
La Croix : Le grand talent du réalisateur consiste à mêler plusieurs niveaux de réalité, plusieurs plages temporelles. Cette confrontation avec l’intangible n’affaiblit pas le crime de l’homme, ni sa dénonciation. Bien au contraire.
Le bouton de nacre