Réalisateur | Gallotte Jean-François |
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Deux frères partagent leur vie entre le pavillon qu’ils habitent et leur mère à qui ils rendent très souvent visite. François se fait câliner par sa mère tandis que Pierre passe son temps à la fenêtre les yeux rivés sur l’appartement d’une jeune femme. Un homme, Georges, vient s’installer dans le second pavillon du terrain vague. Les frères font sa connaissance. Un jour une femme, Simone, vient lui rendre visite. Pierre reconnait en elle la femme qu’il regarde à la fenêtre...
Avec : Micheline Presle, Jean-Luc Bideau, Véronique Silver, François Frapier, Marc Fège...
Festival de Cannes 1984 - Sélection Perspective du cinéma français
Libération : Rien de réaliste, ici, rien qui ressemble à un constat social ou à une peinture de mœurs, bien qu’en filigrane, tout s’y rapporte, à travers cette exacerbation des rapports affectifs et des relations familiales plus précisément. Sur fond de cités dortoirs, avec tout ce que cela sous-entend de solitude, d’isolement, d’incompréhension, d’intolérance, d’incommunicabilité, Gallotte a, donc, sciemment joué l’outrance, les caricatures et l’humour noir pour dire, de façon corrosive et même agressive, la violence, consciente ou inconsciente, qui préside à tout attachement sentimental, jeunesse et vieillesse confondues.
Le Monde : Le Chien est un de ces films de provocation pure qui retiennent malgré lui le spectateur de fuir. On côtoie pendant une heure et demie un univers fangeux, mais il s’en dégage une sorte de vérité.
Télé Star : Jean-François Gallotte n’y va pas avec le dos de la cuillère ! Ce premier film écorché vif vous empoigne et ne vous lâche pas. Le ton est acide, brutal, désespéré et désespérant. D’une noirceur à toute épreuve. Ça passe ou ça ne passe pas. Mais ça ne laisse personne indifférent.
Réalisation : Jean-François Gallotte
Scénario : Irène Sohm, Jean-François Gallotte
Photo : Etienne Szabo
Son : Jacques Gauron
Montage : Christine Keller-Monge
Musique : Scorpions
Deux frères partagent leur vie entre le pavillon qu’ils habitent et leur mère à qui ils rendent très souvent visite. François se fait câliner par sa mère tandis que Pierre passe son temps à la fenêtre les yeux rivés sur l’appartement d’une jeune femme. Un homme, Georges, vient s’installer dans le second pavillon du terrain vague. Les frères font sa connaissance. Un jour une femme, Simone, vient lui rendre visite. Pierre reconnait en elle la femme qu’il regarde à la fenêtre...
Avec : Micheline Presle, Jean-Luc Bideau, Véronique Silver, François Frapier, Marc Fège...
Festival de Cannes 1984 - Sélection Perspective du cinéma français
Libération : Rien de réaliste, ici, rien qui ressemble à un constat social ou à une peinture de mœurs, bien qu’en filigrane, tout s’y rapporte, à travers cette exacerbation des rapports affectifs et des relations familiales plus précisément. Sur fond de cités dortoirs, avec tout ce que cela sous-entend de solitude, d’isolement, d’incompréhension, d’intolérance, d’incommunicabilité, Gallotte a, donc, sciemment joué l’outrance, les caricatures et l’humour noir pour dire, de façon corrosive et même agressive, la violence, consciente ou inconsciente, qui préside à tout attachement sentimental, jeunesse et vieillesse confondues.
Le Monde : Le Chien est un de ces films de provocation pure qui retiennent malgré lui le spectateur de fuir. On côtoie pendant une heure et demie un univers fangeux, mais il s’en dégage une sorte de vérité.
Télé Star : Jean-François Gallotte n’y va pas avec le dos de la cuillère ! Ce premier film écorché vif vous empoigne et ne vous lâche pas. Le ton est acide, brutal, désespéré et désespérant. D’une noirceur à toute épreuve. Ça passe ou ça ne passe pas. Mais ça ne laisse personne indifférent.
Réalisation : Jean-François Gallotte
Scénario : Irène Sohm, Jean-François Gallotte
Photo : Etienne Szabo
Son : Jacques Gauron
Montage : Christine Keller-Monge
Musique : Scorpions
Le chien