Réalisateur | Lapid Nadav |
Partager sur |
Y., cinéaste israélien, arrive dans un village reculé au bout du désert pour la projection de l’un de ses films. Il y rencontre Yahalom, une fonctionnaire du ministère de la culture, et se jette désespérément dans deux combats perdus : l’un contre la mort de la liberté dans son pays, l’autre contre la mort de sa mère.
Culturopoing.com : Rien dans ce film n’est laissé au hasard, et pourtant c’est un cinéma de kamikaze, prêt à sauter dans le vide. Ou prêt à y renoncer pour un cri d’amour. Magnifique.
Les Cahiers du Cinéma : A l’absence d’un film irréalisable, dont il s’approprie le titre, Le Genou d’Ahed substitue sa présence mat et paradoxalement muette. Loin des indignations consensuelles, Nadav Lapid touche ici aux limites de la colère, à son point d’idiotie, et à son essentielle énergie.
L’Humanité : Sujet à controverse en Israël, cet opus théorique et viscéral explore la difficulté à dire sa colère dans une démocratie souillée.
Transfuge : Le cinéma de Lapid malmène le spectateur pour l’emmener dans des zones troubles où il est confronté à l’état du monde mais également à sa propre vérité, sa propre ambivalence.
20 Minutes : Tendu, tortueux, exigeant, ce dernier film est intensément révélateur du malaise que traverse la société israélienne d’aujourd’hui.
Y., cinéaste israélien, arrive dans un village reculé au bout du désert pour la projection de l’un de ses films. Il y rencontre Yahalom, une fonctionnaire du ministère de la culture, et se jette désespérément dans deux combats perdus : l’un contre la mort de la liberté dans son pays, l’autre contre la mort de sa mère.
Culturopoing.com : Rien dans ce film n’est laissé au hasard, et pourtant c’est un cinéma de kamikaze, prêt à sauter dans le vide. Ou prêt à y renoncer pour un cri d’amour. Magnifique.
Les Cahiers du Cinéma : A l’absence d’un film irréalisable, dont il s’approprie le titre, Le Genou d’Ahed substitue sa présence mat et paradoxalement muette. Loin des indignations consensuelles, Nadav Lapid touche ici aux limites de la colère, à son point d’idiotie, et à son essentielle énergie.
L’Humanité : Sujet à controverse en Israël, cet opus théorique et viscéral explore la difficulté à dire sa colère dans une démocratie souillée.
Transfuge : Le cinéma de Lapid malmène le spectateur pour l’emmener dans des zones troubles où il est confronté à l’état du monde mais également à sa propre vérité, sa propre ambivalence.
20 Minutes : Tendu, tortueux, exigeant, ce dernier film est intensément révélateur du malaise que traverse la société israélienne d’aujourd’hui.
Le genou d'Ahed