Réalisateur | Michel Perrine |
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On ne vient pas ici pour guérir, mais pour vivre le plus pleinement possible ses derniers jours. Ici, c’est un service de soins palliatifs. Au quotidien, des soignants font corps et s’écoutent les uns les autres, pour être au plus près des patients. En parallèle des scènes montrant une médecine pleine d’humanisme, la voix de la cinéaste se fait entendre. Elle accompagne, elle aussi, sa mère à travers la maladie. Quatre danseurs mettent en lumière la chronique de cet accompagnement.
Les Fiches du Cinéma : "L’équipe d’un service de soins palliatifs suit des patients en stade terminal, cependant que la réalisatrice raconte, à travers la danse, la maladie de sa mère. Beau et terrible à la fois, "Les Équilibristes" touche pour la force du dialogue entre voix off et images."
Libération : "C’est à la fois pesant (la gravité de certains cas évoqués) et léger (cette façon qu’a le personnel soignant de rire sans se moquer, d’accompagner avec douceur), et ce ruban sonore que la cinéaste laisse dérouler et qui fait penser dans sa sensibilité à une Annie Ernaux faisant le portrait sa mère, nous tient là jusqu’au dernier souffle, accroché à la vie."
Positif : "Avec le même courage créatif que dans son précédent documentaire, le beau et troublant "Lame de fond", Perrine Michel ose dévoiler les coulisses de l’ultime tabou."
On ne vient pas ici pour guérir, mais pour vivre le plus pleinement possible ses derniers jours. Ici, c’est un service de soins palliatifs. Au quotidien, des soignants font corps et s’écoutent les uns les autres, pour être au plus près des patients. En parallèle des scènes montrant une médecine pleine d’humanisme, la voix de la cinéaste se fait entendre. Elle accompagne, elle aussi, sa mère à travers la maladie. Quatre danseurs mettent en lumière la chronique de cet accompagnement.
Les Fiches du Cinéma : "L’équipe d’un service de soins palliatifs suit des patients en stade terminal, cependant que la réalisatrice raconte, à travers la danse, la maladie de sa mère. Beau et terrible à la fois, "Les Équilibristes" touche pour la force du dialogue entre voix off et images."
Libération : "C’est à la fois pesant (la gravité de certains cas évoqués) et léger (cette façon qu’a le personnel soignant de rire sans se moquer, d’accompagner avec douceur), et ce ruban sonore que la cinéaste laisse dérouler et qui fait penser dans sa sensibilité à une Annie Ernaux faisant le portrait sa mère, nous tient là jusqu’au dernier souffle, accroché à la vie."
Positif : "Avec le même courage créatif que dans son précédent documentaire, le beau et troublant "Lame de fond", Perrine Michel ose dévoiler les coulisses de l’ultime tabou."
Les équilibristes