Réalisateur | Millet Jonathan |
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Inspiré de faits réels.
Bande à part : Jubilation de l’esprit et plaisir pur de spectateur sont réunis dans cette aventure de nos temps modernes, travaillés par les blessures vivaces. Une très belle surprise.
Ecran large : Les Fantômes ne se laisse pas tout de suite approcher. Par son rythme lancinant, le film de Jonathan Millet se construit sur une montée progressive de la tension, en accord avec des émotions enfouies qui reviennent à la surface.
L'Obs : Tout concourt à l’immersion totale du spectateur dans cette quête terrible. Tendu, tenu, les Fantômes est aussi fascinant que poignant.
Le Monde : Homme de l’ombre, solitaire et hanté, Hamid accapare tout le film, qui, suspendu à son souffle, aux bruits qu’il écoute, aux indices qu’il recoupe, diffuse une angoisse sourde et grandissante à laquelle les choix de réalisation (cadre serré, sons amplifiés et déformés, approche sensorielle) ne nous permettent pas d’échapper.
Inspiré de faits réels.
Bande à part : Jubilation de l’esprit et plaisir pur de spectateur sont réunis dans cette aventure de nos temps modernes, travaillés par les blessures vivaces. Une très belle surprise.
Ecran large : Les Fantômes ne se laisse pas tout de suite approcher. Par son rythme lancinant, le film de Jonathan Millet se construit sur une montée progressive de la tension, en accord avec des émotions enfouies qui reviennent à la surface.
L'Obs : Tout concourt à l’immersion totale du spectateur dans cette quête terrible. Tendu, tenu, les Fantômes est aussi fascinant que poignant.
Le Monde : Homme de l’ombre, solitaire et hanté, Hamid accapare tout le film, qui, suspendu à son souffle, aux bruits qu’il écoute, aux indices qu’il recoupe, diffuse une angoisse sourde et grandissante à laquelle les choix de réalisation (cadre serré, sons amplifiés et déformés, approche sensorielle) ne nous permettent pas d’échapper.
Les fantômes