Un ogre casse ses dents la veille de la Saint-Festin, la grande fête des ogres. Un magicien rate son tour de la femme coupée en deux et égare les jambes de son assistante. Un randonneur suréquipé reste coincé plusieurs jours dans un ascenseur. Un vieux monsieur tombe amoureux d’une paire de jambes en fuite. Une maman confie ses enfants au voisin le soir de la Saint-Festin... Dans un immeuble, les destins entremêlés de dix vrais voisins ou voisins de voisins, aux prises avec les drames, les plaisirs, les surprises et les hasards de la vie quotidienne.
Revue de presse
Les Cahiers du cinéma : Un film radicalement inventif qui joue, le plus souvent à l’intérieur d’un même plan, d’une étonnante diversité de techniques et de matériaux. Œuvre chorale, astucieusement scénarisée à partir de membres épars, Les Voisins... conte tout à la fois la tragédie d’un magicien qui a tronçonné sa partenaire, la détresse d’un campeur bloqué dans un ascenseur, le drame social d’un ogre en mal d’enfants et la romance d’un vieillard amoureux d’une paire de jambes.
Culturopoing.com : Pétri de références, brillant et irrévérencieux au possible (certaines scènes auront une saveur inédite pour les spectateurs plus âgés), voilà une comédie déjantée comme trop peu osent les faire ! Pas exactement un film pour toute la famille mais une expérience jubilatoire pour les amateurs d’humour ravageur et ravagé !
Écran large : Les Voisins de mes voisins sont mes voisins n'est autre qu'une satire burlesque de notre époque. Le film se trouve près d'une bordure peu explorée de la galaxie de l'animation et ses auteurs cherchent simplement à s'éloigner des conventions du genre.