Réalisateur | Rodrigo Moreno |
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Román et Morán, deux modestes employés de banque de Buenos Aires, sont piégés par la routine. Morán met en oeuvre un projet fou : voler au coffre une somme équivalente à leurs vies de salaires. Désormais délinquants, leurs destins sont liés. Au gré de leur cavale et des rencontres, chacun à sa manière emprunte une voie nouvelle vers la liberté.
Les Cahiers du cinéma : Par les jeux d’échos et de circularité qu’il met en œuvre, Rodrigo Moreno exprime une difficulté collective à s’extraire d’un système économico-politique qui, non content de structurer tout ce qui nous entoure, façonne nos psychés, et nous pousse à refaire sans cesse les mêmes erreurs. Être fou ou idiot : l’alternative revient à plusieurs reprises dans le film, comme résumant les seules voies possibles.
Transfuge : Démarrant comme du Lumet, poursuivant comme du Rozier, "Los delincuentes" est un formidable film policier et politique.
Télérama : Au-delà de la critique tragi-comique d’un système aliénant, une invitation à la douceur de vivre.
L'Obs : Ingrédients habilement répartis sur plusieurs temporalités, scénario gouleyant et rythmé, prodigue en coups de théâtre qui vous tiennent en haleine pendant plus de trois heures… Quant à la mise en scène de Rodrigo Moreno, c’est une merveille de mécanique disruptive.
Román et Morán, deux modestes employés de banque de Buenos Aires, sont piégés par la routine. Morán met en oeuvre un projet fou : voler au coffre une somme équivalente à leurs vies de salaires. Désormais délinquants, leurs destins sont liés. Au gré de leur cavale et des rencontres, chacun à sa manière emprunte une voie nouvelle vers la liberté.
Les Cahiers du cinéma : Par les jeux d’échos et de circularité qu’il met en œuvre, Rodrigo Moreno exprime une difficulté collective à s’extraire d’un système économico-politique qui, non content de structurer tout ce qui nous entoure, façonne nos psychés, et nous pousse à refaire sans cesse les mêmes erreurs. Être fou ou idiot : l’alternative revient à plusieurs reprises dans le film, comme résumant les seules voies possibles.
Transfuge : Démarrant comme du Lumet, poursuivant comme du Rozier, "Los delincuentes" est un formidable film policier et politique.
Télérama : Au-delà de la critique tragi-comique d’un système aliénant, une invitation à la douceur de vivre.
L'Obs : Ingrédients habilement répartis sur plusieurs temporalités, scénario gouleyant et rythmé, prodigue en coups de théâtre qui vous tiennent en haleine pendant plus de trois heures… Quant à la mise en scène de Rodrigo Moreno, c’est une merveille de mécanique disruptive.
Los delincuentes