Réalisateur | Jérémie Périn |
Partager sur |
En l’an 2200, Aline Ruby, détective privée obstinée, et Carlos Rivera son partenaire androïde sont embauchés par un riche homme d’affaires afin de capturer sur Terre une célèbre hackeuse.
De retour sur Mars, une nouvelle affaire va les conduire à s’aventurer dans les entrailles de Noctis, la capitale martienne, à la recherche de Jun Chow, une étudiante en cybernétique disparue. Noctis est leur ville, une utopie libertarienne rendue possible par les progrès en robotique, emblème d’un futur tourné vers les étoiles. Au fil de leur enquête, ils seront confrontés aux plus sombres secrets de leur cité ; ses institutions corrompues, ses trafics, ses fermes cérébrales, et les magouilles des toutes puissantes corporations. Mais des tueurs cyber augmentés ont eux aussi pris pour cible Jun Chow. Aline et Carlos se lancent dans une course désespérée pour sauver cette jeune femme qui, sans le savoir, détient un secret capable de menacer l’équilibre précaire sur lequel repose leur civilisation.
Télérama : Visuellement superbe, le film use d’un réalisme épuré qui brouille sans cesse les pistes entre humains et robots, partageant le même humour au milieu de la mitraille. Jérémie Périn impose, par sa science de l’animation, un épique cyberpolar, qui finit sur un bouleversant exode et par deux questions. C’est quoi être un robot ? Et, en miroir, c’est quoi être humain ?
Ecran large : Mars Express est bien plus que le jukebox SF qu’il semble être en surface. Or, c’est bien cette surface que Jérémie Périn nous incite à creuser au travers de sa technique flamboyante et de l’efficacité folle de son récit. En résulte un grand film, à la fois vertigineux et profondément moderne.
L'Obs : Après sa série à succès « Lastman », Jérémie Périn réussit à trouver le parfait équilibre entre divertissement et réflexion, à travers un univers futuriste à l’environnement glauque mais visuellement splendide.
Le Monde : Si Mars Express emporte d’emblée la conviction quant au monde interconnecté qu’il nous présente, c’est parce qu’il ne cherche aucunement à le justifier, mais le montre directement en train de fonctionner, gourmand en notations modernistes qui s’accompagnent toujours d’une trouvaille plastique.
En l’an 2200, Aline Ruby, détective privée obstinée, et Carlos Rivera son partenaire androïde sont embauchés par un riche homme d’affaires afin de capturer sur Terre une célèbre hackeuse.
De retour sur Mars, une nouvelle affaire va les conduire à s’aventurer dans les entrailles de Noctis, la capitale martienne, à la recherche de Jun Chow, une étudiante en cybernétique disparue. Noctis est leur ville, une utopie libertarienne rendue possible par les progrès en robotique, emblème d’un futur tourné vers les étoiles. Au fil de leur enquête, ils seront confrontés aux plus sombres secrets de leur cité ; ses institutions corrompues, ses trafics, ses fermes cérébrales, et les magouilles des toutes puissantes corporations. Mais des tueurs cyber augmentés ont eux aussi pris pour cible Jun Chow. Aline et Carlos se lancent dans une course désespérée pour sauver cette jeune femme qui, sans le savoir, détient un secret capable de menacer l’équilibre précaire sur lequel repose leur civilisation.
Télérama : Visuellement superbe, le film use d’un réalisme épuré qui brouille sans cesse les pistes entre humains et robots, partageant le même humour au milieu de la mitraille. Jérémie Périn impose, par sa science de l’animation, un épique cyberpolar, qui finit sur un bouleversant exode et par deux questions. C’est quoi être un robot ? Et, en miroir, c’est quoi être humain ?
Ecran large : Mars Express est bien plus que le jukebox SF qu’il semble être en surface. Or, c’est bien cette surface que Jérémie Périn nous incite à creuser au travers de sa technique flamboyante et de l’efficacité folle de son récit. En résulte un grand film, à la fois vertigineux et profondément moderne.
L'Obs : Après sa série à succès « Lastman », Jérémie Périn réussit à trouver le parfait équilibre entre divertissement et réflexion, à travers un univers futuriste à l’environnement glauque mais visuellement splendide.
Le Monde : Si Mars Express emporte d’emblée la conviction quant au monde interconnecté qu’il nous présente, c’est parce qu’il ne cherche aucunement à le justifier, mais le montre directement en train de fonctionner, gourmand en notations modernistes qui s’accompagnent toujours d’une trouvaille plastique.
Mars express