Réalisateur | Leclerc du Sablon Luc |
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Ce film dessert les gares de Vierzon, Sète, Lannemezan, Vesoul, Le havre, Neussargues, Morteau, Puyoô...
Micheline, c‘est l‘histoire d‘un voyageur qui a décidé un beau jour de faire ce dont tout le monde rêve secrètement : monter dans un train sans savoir où aller et se laisser guider au hasard des rencontres et des correspondances.
Nous voilà à la fin des années 90, il y a des lignes de trains à travers la France, des petites gares, on peut marcher sur les quais, partager une clope dans le train, on se parle, sans masque... Un voyage dans le monde d’avant qui prend encore plus de force aujourd’hui.
Pour Luc Leclerc du Sablon, cinéaste-acteur, seul le voyage compte. Vagabonder, ne rien prévoir, ne rien décider à l‘avance et ne rien chercher. Parcourant des territoires intimes, le film raconte un pays, un continent, celui de nos enfances, de nos amours et de nos rêves abandonnés quelque part, sur le quai d’une gare...
Parmi les préoccupations récurrentes des Mutins de Pangée, il y a la représentation d’une France populaire, celle des campagnes, des chemins de fer et des ronds-points, celle qui passe souvent sous les radars des médias, mais qui a pourtant toujours été là sous nos yeux et dans quelques films... Une France qui, un beau jour, s’invite dans l’actualité à la stupeur générale.
Parmi les films qui explorent en profondeur cette France, il y a Micheline et Au prochain printemps de Luc Leclerc du Sablon, deux films sortis au cinéma mais jamais édités en DVD et VOD jusque-là. Tous deux sont des rencontres cinématographiques à travers le voyage : l’un par une errance dans les trains des lignes secondaires de la France des années 90 où l’on fumait encore dans les wagons et l’autre à travers la France pendant la campagne électorale présidentielle de 2007. Il y a du mouvement, il y a du hors champs, de la sensibilité, de la poésie, l’accordéon de Marc Perrone et des rencontres touchantes de sincérité qui nous montrent cette France « invisible » à qui on ne la raconte pas.
Le Monde Diplomatique : De gare en gare, au hasard.
L’Humanité : Micheline est un film d’amour dont Puyôo, petite bourgade Béarnaise serait le « Rosebud ».
Télérama : Tout le monde en a rêvé, Luc Leclerc du Sablon l’a fait. Il est monté dans un train au hasard et de fil en aiguillage, s’est laissé dérivé sur le réseau SNCF.
Le Monde : Micheline. La Société Nationale des Chemins de Fer Français l’a inventée, Luc Leclerc du Sablon l’a filmée.
Le Berry : Mi-film de fiction, mi documentaire, une mise en scène de la comédie humaine à travers le monde des trains.
Éclipses : Le film de Luc Leclerc du Sablon invente son créneau, entre Rosier et Tati.
La Nouvelle République : Comme si la destination avait le moindre intérêt... Ce voyageur a du Rimbaud dans les Ardennes et du Kerouac sur la route.
Politis : Désormais les chemins de fer ont leur utopie filmée : elle s’appelle Micheline.
Les Cahiers du Cinéma : Micheline reste fidèle à sa visée tranquille, transposition inattendue des grands récits immobiles, tel qu’en son temps Don Quichotte en avait donné la forme.
Ce film dessert les gares de Vierzon, Sète, Lannemezan, Vesoul, Le havre, Neussargues, Morteau, Puyoô...
Micheline, c‘est l‘histoire d‘un voyageur qui a décidé un beau jour de faire ce dont tout le monde rêve secrètement : monter dans un train sans savoir où aller et se laisser guider au hasard des rencontres et des correspondances.
Nous voilà à la fin des années 90, il y a des lignes de trains à travers la France, des petites gares, on peut marcher sur les quais, partager une clope dans le train, on se parle, sans masque... Un voyage dans le monde d’avant qui prend encore plus de force aujourd’hui.
Pour Luc Leclerc du Sablon, cinéaste-acteur, seul le voyage compte. Vagabonder, ne rien prévoir, ne rien décider à l‘avance et ne rien chercher. Parcourant des territoires intimes, le film raconte un pays, un continent, celui de nos enfances, de nos amours et de nos rêves abandonnés quelque part, sur le quai d’une gare...
Parmi les préoccupations récurrentes des Mutins de Pangée, il y a la représentation d’une France populaire, celle des campagnes, des chemins de fer et des ronds-points, celle qui passe souvent sous les radars des médias, mais qui a pourtant toujours été là sous nos yeux et dans quelques films... Une France qui, un beau jour, s’invite dans l’actualité à la stupeur générale.
Parmi les films qui explorent en profondeur cette France, il y a Micheline et Au prochain printemps de Luc Leclerc du Sablon, deux films sortis au cinéma mais jamais édités en DVD et VOD jusque-là. Tous deux sont des rencontres cinématographiques à travers le voyage : l’un par une errance dans les trains des lignes secondaires de la France des années 90 où l’on fumait encore dans les wagons et l’autre à travers la France pendant la campagne électorale présidentielle de 2007. Il y a du mouvement, il y a du hors champs, de la sensibilité, de la poésie, l’accordéon de Marc Perrone et des rencontres touchantes de sincérité qui nous montrent cette France « invisible » à qui on ne la raconte pas.
Le Monde Diplomatique : De gare en gare, au hasard.
L’Humanité : Micheline est un film d’amour dont Puyôo, petite bourgade Béarnaise serait le « Rosebud ».
Télérama : Tout le monde en a rêvé, Luc Leclerc du Sablon l’a fait. Il est monté dans un train au hasard et de fil en aiguillage, s’est laissé dérivé sur le réseau SNCF.
Le Monde : Micheline. La Société Nationale des Chemins de Fer Français l’a inventée, Luc Leclerc du Sablon l’a filmée.
Le Berry : Mi-film de fiction, mi documentaire, une mise en scène de la comédie humaine à travers le monde des trains.
Éclipses : Le film de Luc Leclerc du Sablon invente son créneau, entre Rosier et Tati.
La Nouvelle République : Comme si la destination avait le moindre intérêt... Ce voyageur a du Rimbaud dans les Ardennes et du Kerouac sur la route.
Politis : Désormais les chemins de fer ont leur utopie filmée : elle s’appelle Micheline.
Les Cahiers du Cinéma : Micheline reste fidèle à sa visée tranquille, transposition inattendue des grands récits immobiles, tel qu’en son temps Don Quichotte en avait donné la forme.
Micheline