Réalisateur | Plante Pascal |
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À 23 ans, Nadia prend la décision controversée de se retirer de la natation professionnelle et de s’affranchir d’une vie de sacrifices. Après une dernière course, les excès cachés du Village olympique offriront à Nadia un premier souffle de liberté. Mais à mesure qu’elle plonge dans l’inconnu, les doutes surgissent : qui est-elle réellement ?
La septième obsession : Le film de Pascal Plante, brillant, envoûtant, confronte toujours l’image publique à la sphère privée et questionne nos attentes démesurées envers les athlètes de haut niveau, idéal de dévouement physique et mental, pour montrer une jeunesse qui semble vivre plus fort pour rattraper le temps perdu à s’entraîner.
Positif : Outre l’originalité de sa construction narrative, "Nadia, Butterfly" représente et suscite des émotions qui sont rarement exaltées dans les films sur le sport : l’égoïsme de celui qui parvient au plus niveau, la déception de celui qui remporte le bronze et le courage de celui qui sait renoncer.
Télérama : Ce passionnant contrechamp des jeux Olympiques est le récit de l’émancipation d’une jeune femme, interprétée avec une justesse étonnante par Katerine Savard – la Laure Manaudou du Québec – qui vient de participer aux véritables JO de Tokyo.
À 23 ans, Nadia prend la décision controversée de se retirer de la natation professionnelle et de s’affranchir d’une vie de sacrifices. Après une dernière course, les excès cachés du Village olympique offriront à Nadia un premier souffle de liberté. Mais à mesure qu’elle plonge dans l’inconnu, les doutes surgissent : qui est-elle réellement ?
La septième obsession : Le film de Pascal Plante, brillant, envoûtant, confronte toujours l’image publique à la sphère privée et questionne nos attentes démesurées envers les athlètes de haut niveau, idéal de dévouement physique et mental, pour montrer une jeunesse qui semble vivre plus fort pour rattraper le temps perdu à s’entraîner.
Positif : Outre l’originalité de sa construction narrative, "Nadia, Butterfly" représente et suscite des émotions qui sont rarement exaltées dans les films sur le sport : l’égoïsme de celui qui parvient au plus niveau, la déception de celui qui remporte le bronze et le courage de celui qui sait renoncer.
Télérama : Ce passionnant contrechamp des jeux Olympiques est le récit de l’émancipation d’une jeune femme, interprétée avec une justesse étonnante par Katerine Savard – la Laure Manaudou du Québec – qui vient de participer aux véritables JO de Tokyo.
Nadia Butterfly