Réalisateur | Gheerbrant Denis |
Partager sur |
Elles s’appellent Oulimata, Mariam, Géraldine, Fatoumata… Elles sont une quinzaine de femmes de chambres et pendant un mois, elles vont affronter le deuxième groupe hôtelier d’Europe. Elles n’acceptent plus le salaire à la chambre, les heures données au patron, le mal de dos qui les casse et le mépris dans lequel elles sont tenues. On a grèvé, c’est la rencontre entre leur force et une stratégie syndicale pertinente.
"Les cinéastes ont toujours envie de filmer l’invisible, comme les peintres. Paul Klee l’a très bien formulé en son temps. Les personnes qui travaillent dans le nettoyage forment une main-d’œuvre invisible, souterraine, méprisée, que l’on ne croise que dans le métro. Pour moi c’est là que tout commence, dans le métro quand vous vous dites : tiens, quelle existence ces gens ont-ils ? Ils viennent de quelque part, d’une culture et nous les maintenons à leur place de soutiers de notre économie en détournant notre regard." Denis Gheerbrant
Le Monde : "Une grève exemplaire et un film nécessaire."
Télérama : "Un beau documentaire militant, sur l’apprentissage de la lutte et de la solidarité."
Première : "Denis Gheerbrant filme avec simplicité cet intense huis clos à ciel ouvert, danse initiatique aussi enjouée que poignante."
Les Inrockuptibles : "Ce mini-conflit social est un des plus joyeux jamais filmés."
Elles s’appellent Oulimata, Mariam, Géraldine, Fatoumata… Elles sont une quinzaine de femmes de chambres et pendant un mois, elles vont affronter le deuxième groupe hôtelier d’Europe. Elles n’acceptent plus le salaire à la chambre, les heures données au patron, le mal de dos qui les casse et le mépris dans lequel elles sont tenues. On a grèvé, c’est la rencontre entre leur force et une stratégie syndicale pertinente.
"Les cinéastes ont toujours envie de filmer l’invisible, comme les peintres. Paul Klee l’a très bien formulé en son temps. Les personnes qui travaillent dans le nettoyage forment une main-d’œuvre invisible, souterraine, méprisée, que l’on ne croise que dans le métro. Pour moi c’est là que tout commence, dans le métro quand vous vous dites : tiens, quelle existence ces gens ont-ils ? Ils viennent de quelque part, d’une culture et nous les maintenons à leur place de soutiers de notre économie en détournant notre regard." Denis Gheerbrant
Le Monde : "Une grève exemplaire et un film nécessaire."
Télérama : "Un beau documentaire militant, sur l’apprentissage de la lutte et de la solidarité."
Première : "Denis Gheerbrant filme avec simplicité cet intense huis clos à ciel ouvert, danse initiatique aussi enjouée que poignante."
Les Inrockuptibles : "Ce mini-conflit social est un des plus joyeux jamais filmés."
On a grêvé