L’Algérie se qualifie pour la Coupe du Monde. Effusion de joie à Barbes. Ils sont fiers de leur équipe, fiers d’être algériens.
Omniprésente ici, l’Algérie souffre pourtant d’une lourde absence de représentations. Une étude sensible, légère et footballistique autour de l’identité, de la mémoire et de la mythologie nationale. Sur le traces du « One, Two, Three Viva », le film retrace un parcours initiatique personnel, mon exploration de la relation franco-algérienne où mon regard porté sur l’Algérie transforme en retour celui que je porte sur la France.
Soutenu par l’Arab Found of Arts and Culture et par l’Institut français d’Alger.
Avant-première non compétitive au festival Cinemed de Montpellier.
Sélection aux festivals Itinérances à Alès et Résistances à Foix.
En 2010, il obtient une bourse étudiante et se lance dans son premier court-métrage « le football en Algérie ». Au départ une curiosité pour l’Algérie, et une intuition : faire un film de foot, mais pas sur le foot. De ces deux premières semaines de tournage à Alger, pendant la Coupe du Monde, il revient avec une dizaine de cassettes mini DV et un tas de questions.
Avant One, Two, Three Viva l’Algérie Amine n’appréciait pas le foot. Après, c’est une autre histoire. À la fin de la Coupe du Monde 2014, il rencontre Samuel qui cherche un monteur pour ce qu’il pense être les dernières images du film. Le courant passe si bien que le projet ne tarde pas à se transformer. Il faut trouver une forme singulière : écrire, tourner, monter, réécrire, re-tourner… 8 ans de compagnonage de réalisation.
L’Algérie se qualifie pour la Coupe du Monde. Effusion de joie à Barbes. Ils sont fiers de leur équipe, fiers d’être algériens.
Omniprésente ici, l’Algérie souffre pourtant d’une lourde absence de représentations. Une étude sensible, légère et footballistique autour de l’identité, de la mémoire et de la mythologie nationale. Sur le traces du « One, Two, Three Viva », le film retrace un parcours initiatique personnel, mon exploration de la relation franco-algérienne où mon regard porté sur l’Algérie transforme en retour celui que je porte sur la France.
Soutenu par l’Arab Found of Arts and Culture et par l’Institut français d’Alger.
Avant-première non compétitive au festival Cinemed de Montpellier.
Sélection aux festivals Itinérances à Alès et Résistances à Foix.
En 2010, il obtient une bourse étudiante et se lance dans son premier court-métrage « le football en Algérie ». Au départ une curiosité pour l’Algérie, et une intuition : faire un film de foot, mais pas sur le foot. De ces deux premières semaines de tournage à Alger, pendant la Coupe du Monde, il revient avec une dizaine de cassettes mini DV et un tas de questions.
Avant One, Two, Three Viva l’Algérie Amine n’appréciait pas le foot. Après, c’est une autre histoire. À la fin de la Coupe du Monde 2014, il rencontre Samuel qui cherche un monteur pour ce qu’il pense être les dernières images du film. Le courant passe si bien que le projet ne tarde pas à se transformer. Il faut trouver une forme singulière : écrire, tourner, monter, réécrire, re-tourner… 8 ans de compagnonage de réalisation.
One, Two, Three Viva l'Algérie