Réalisateur | Guiraudie Alain |
Acteur | Thomas Blanchard |
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D’abord, il y a Basile Matin, un jeune gars qui a rêvé de Faftao-Laoupo, le symbole de l’avant dernier sommeil... Maintenant, il sait que s’il dort encore, il va mourir et le problème, c’est qu’à son âge, on aimerait bien avoir toute la vie devant soi. Ensuite, il y a Igor, un autre jeune gars qui travaille un peu et fait également des études... Mais il n’a pas d’argent et il s’ennuie. Alors l’histoire de Basile, même s’il n’y comprend pas grand chose, l’intéresse diablement. Enfin, il y a Johnny Got. Un peu journaliste bénévole, un peu détective et pas mal voyou, il s’intéresse beaucoup aux histoires qui ne le regardent pas... Et celle de Basile le passionne...
Les Cahiers du cinéma : "Guiraudie rêve ses films éveillé, mais il est un sacré bon rêveur. Dans la joie alerte des assonances de couleur, des rebonds, des péripéties, des échos de récits anciens, de films aimés, de moments intimes, voici que se déploie, souveraine et modeste, l’épopée de Basile (...) Guiraudie est un farceur insolent, un styliste doué, un graphiste méridional (...) Mais surtout, Alain Guiraudie est un cinéaste. Quand il fait un plan, c’est un véritable plan de cinéma."
L’Humanité : Dans le paysage actuel du cinéma français, ce film fait figure de coup de pistolet dans le concert du formatage, porté par un univers onirique, un humour, un regard sur le monde des plus régalants par les temps qui courent, servi par de jeunes acteurs (Thomas Blanchard et Thomas Suire, entre autres) remarquables.
Aden : le film le plus vivant qui soit, où l’on traverse des mondes étranges d’un village à l’autre (...) où les panneaux indicateurs des routes du Tarn vous indiquent, à droite, Oncongue, et à gauche, Bouenozaire... Si ces destinations, déjà, vous inspirent, embarquez sans crainte : même les trous d’air sont ici d’inattendues respirations.
D’abord, il y a Basile Matin, un jeune gars qui a rêvé de Faftao-Laoupo, le symbole de l’avant dernier sommeil... Maintenant, il sait que s’il dort encore, il va mourir et le problème, c’est qu’à son âge, on aimerait bien avoir toute la vie devant soi. Ensuite, il y a Igor, un autre jeune gars qui travaille un peu et fait également des études... Mais il n’a pas d’argent et il s’ennuie. Alors l’histoire de Basile, même s’il n’y comprend pas grand chose, l’intéresse diablement. Enfin, il y a Johnny Got. Un peu journaliste bénévole, un peu détective et pas mal voyou, il s’intéresse beaucoup aux histoires qui ne le regardent pas... Et celle de Basile le passionne...
Les Cahiers du cinéma : "Guiraudie rêve ses films éveillé, mais il est un sacré bon rêveur. Dans la joie alerte des assonances de couleur, des rebonds, des péripéties, des échos de récits anciens, de films aimés, de moments intimes, voici que se déploie, souveraine et modeste, l’épopée de Basile (...) Guiraudie est un farceur insolent, un styliste doué, un graphiste méridional (...) Mais surtout, Alain Guiraudie est un cinéaste. Quand il fait un plan, c’est un véritable plan de cinéma."
L’Humanité : Dans le paysage actuel du cinéma français, ce film fait figure de coup de pistolet dans le concert du formatage, porté par un univers onirique, un humour, un regard sur le monde des plus régalants par les temps qui courent, servi par de jeunes acteurs (Thomas Blanchard et Thomas Suire, entre autres) remarquables.
Aden : le film le plus vivant qui soit, où l’on traverse des mondes étranges d’un village à l’autre (...) où les panneaux indicateurs des routes du Tarn vous indiquent, à droite, Oncongue, et à gauche, Bouenozaire... Si ces destinations, déjà, vous inspirent, embarquez sans crainte : même les trous d’air sont ici d’inattendues respirations.
Pas de repos pour les braves