Réalisateur | Nelson Carlo de Los Santos Arias |
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Pablo Escobar c'est 30 milliards de dollars, 5000 meurtres, 80% du trafic mondial de cocaïne... et 1 hippopotame : voici l'épopée fantastique de Pepe, de la Namibie à Medellín.
Les Cahiers du cinéma : L’aspect fantomatique du film, qui frôle par moments le surréalisme, se manifeste dans une texture inspirée du cinéma expérimental [...] qui brouille la frontière entre réalité et hallucination.
Le Monde : Pepe fait partie de ces films qui ont le don de pousser les murs, de faire jaillir un bouquet d’histoires à partir d’un fait divers, d’une trajectoire de personnage, bref d’inventer un « cinéma élargi », l’auteur ne suivant que son propre flair.
Les Inrockuptibles : Nelson Carlo de Los Santos Arias a un talent de pur conteur-farceur, capable de mixer les natures d’images (archives, fiction, docu, noir et blanc, couleurs) pour livrer une bouleversante allégorie de l’exil.
Libération : Il est tout simplement fascinant de voir comment un sujet à sensation sur un animal potentiellement ridicule ayant appartenu au terrifiant patron du cartel de Medellín constitue le point de départ d’un film aussi étrange et envoûtant.
Pablo Escobar c'est 30 milliards de dollars, 5000 meurtres, 80% du trafic mondial de cocaïne... et 1 hippopotame : voici l'épopée fantastique de Pepe, de la Namibie à Medellín.
Les Cahiers du cinéma : L’aspect fantomatique du film, qui frôle par moments le surréalisme, se manifeste dans une texture inspirée du cinéma expérimental [...] qui brouille la frontière entre réalité et hallucination.
Le Monde : Pepe fait partie de ces films qui ont le don de pousser les murs, de faire jaillir un bouquet d’histoires à partir d’un fait divers, d’une trajectoire de personnage, bref d’inventer un « cinéma élargi », l’auteur ne suivant que son propre flair.
Les Inrockuptibles : Nelson Carlo de Los Santos Arias a un talent de pur conteur-farceur, capable de mixer les natures d’images (archives, fiction, docu, noir et blanc, couleurs) pour livrer une bouleversante allégorie de l’exil.
Libération : Il est tout simplement fascinant de voir comment un sujet à sensation sur un animal potentiellement ridicule ayant appartenu au terrifiant patron du cartel de Medellín constitue le point de départ d’un film aussi étrange et envoûtant.
Pepe