Réalisateur | Kergoat Yannick |
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Une démocratie et une dictature. Une campagne présidentielle et de l’argent noir. Une guerre et des morts. » Personne n’y comprend rien « , se rassure Nicolas Sarkozy au sujet de ses liens avec le colonel Kadhafi. Alors que s’ouvre le procès de l’affaire des financements libyens, voici le film qui va enfin vous permettre de tout comprendre à l’un des scandales les plus retentissants de la Ve République.
Un film de Yannick Kergoat
Avec : Fabrice Arfi, Julia Cagé, Patrick Haimzadeh, Danièle Klein, Karl Laske, François Molins.
Raconté par Florence Loiret Caille
Culturopoing.com : Un guide éclairant qui, s'il réussit sa mission, devrait révéler les ombres grossières des stratégies de sauvetage désespérées et désespérantes de l'incriminé.
Libération : Le résultat, en salles mercredi, est d’une confiante limpidité, accablant déroulé des faits avec une pointe de grotesque - la défense cartoonesque de Sarkozy, les images absurdes de Kadhafi, chapka sur la tête, visitant Versailles.
L'Obs : N’ayez crainte : non seulement le film relève son défi de clarté, mais il se savoure comme un bon thriller d’espionnage, bourré de détails qui tuent, d’archives accablantes et de personnages hauts en couleur, au premier rang desquels l’ancien président, infatigable cabot se débattant dans le déni.
Bande à part : Un film implacable et limpide dans son déroulé et sa mise en avant d’un certain nombre de données, dont on sort édifié et étourdi.
L'argent libyen de Sarkozy - Le dossier complet de Mediapart à lire ici
Une démocratie et une dictature. Une campagne présidentielle et de l’argent noir. Une guerre et des morts. » Personne n’y comprend rien « , se rassure Nicolas Sarkozy au sujet de ses liens avec le colonel Kadhafi. Alors que s’ouvre le procès de l’affaire des financements libyens, voici le film qui va enfin vous permettre de tout comprendre à l’un des scandales les plus retentissants de la Ve République.
Un film de Yannick Kergoat
Avec : Fabrice Arfi, Julia Cagé, Patrick Haimzadeh, Danièle Klein, Karl Laske, François Molins.
Raconté par Florence Loiret Caille
Culturopoing.com : Un guide éclairant qui, s'il réussit sa mission, devrait révéler les ombres grossières des stratégies de sauvetage désespérées et désespérantes de l'incriminé.
Libération : Le résultat, en salles mercredi, est d’une confiante limpidité, accablant déroulé des faits avec une pointe de grotesque - la défense cartoonesque de Sarkozy, les images absurdes de Kadhafi, chapka sur la tête, visitant Versailles.
L'Obs : N’ayez crainte : non seulement le film relève son défi de clarté, mais il se savoure comme un bon thriller d’espionnage, bourré de détails qui tuent, d’archives accablantes et de personnages hauts en couleur, au premier rang desquels l’ancien président, infatigable cabot se débattant dans le déni.
Bande à part : Un film implacable et limpide dans son déroulé et sa mise en avant d’un certain nombre de données, dont on sort édifié et étourdi.
L'argent libyen de Sarkozy - Le dossier complet de Mediapart à lire ici
Personne n'y comprend rien