Point final à la ligne

Comment survivre quand on est jeune banlieusard bourré d’incertitudes ou le rêve comme meilleur moyen moyen d’échapper au quotidien.

1978 – 1979 – 1980…1983. Banlieue. La banlieue n’a pas le sens du temps. Tout y est sans consistance. Un jeune hommy y lit, l’aime lui et son entourage, ils aiment son labyrinthe de béton, le vide de ses soirs, les endroits dont ils ont pris possession, ni paumés, ni marginaux, souvent chômeurs, volontaires ou non, éternels étudiants ou petits travailleurs, qui ont l’amour, le désir de vivre vite, très vite.