Réalisateur | Decaster Luc |
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Ali Ziri, un homme de 69 ans, décède le 11 juin 2009 après son interpellation par la police nationale à la suite d’un contrôle routier à Argenteuil. «Arrêt cardiaque d’un homme au coeur fragile», déclare le Procureur de Pontoise. Appuyant la famille qui vit en Algérie, un collectif d’Argenteuillais demande une contre-expertise. Deux mois plus tard l’institut médico-légal révèle 27 hématomes sur le corps d’Ali Ziri. Pendant cinq années, le cinéaste a suivi les pas de ceux qui demandent « Justice et vérité » après cette mort, ignorée des médias, mais que certains considèrent comme un lynchage digne des pires périodes de l’histoire. Au-delà d’une affaire de justice, Luc Decaster s’est attaché à représenter ce qu’une telle affaire suscite à l’intérieur d’une ville de banlieue ordinaire. Le cinéaste suit les échanges dans les rues de la ville, les entretiens avec les avocats dans les palais de justice, mais aussi les réunions internes du collectif « Vérité et justice pour Ali Ziri ». Au fil de la dramaturgie du film, des retournements de situations et de nouveaux espoirs, se révèlent des personnalités étonnantes d’ingéniosité. Par-delà les échanges, le film interroge la justice française et ses incohérences lorsque des policiers sont mis en cause.
Télérama : Ce témoignage essentiel sonne l'alerte contre les violences policières qui, chaque année, tuent impunément entre dix et quinze personnes.
Le Monde : Si l'histoire n'est pas toujours évidente à suivre, le film jette une lumière crue sur le déni de justice souvent fait aux catégories sociales défavorisées.
Première : Depuis ce jour, un collectif demande justice et vérité. Ténacité, objectivité et rigueur sont les maîtres mots de leur action et définissent remarquablement le documentaire lui-même.
L'Etat français condamné pour la mort d'Ali Ziri. Un reportage de Là-bas si j'y suis à écouter ici
Ali Ziri, un homme de 69 ans, décède le 11 juin 2009 après son interpellation par la police nationale à la suite d’un contrôle routier à Argenteuil. «Arrêt cardiaque d’un homme au coeur fragile», déclare le Procureur de Pontoise. Appuyant la famille qui vit en Algérie, un collectif d’Argenteuillais demande une contre-expertise. Deux mois plus tard l’institut médico-légal révèle 27 hématomes sur le corps d’Ali Ziri. Pendant cinq années, le cinéaste a suivi les pas de ceux qui demandent « Justice et vérité » après cette mort, ignorée des médias, mais que certains considèrent comme un lynchage digne des pires périodes de l’histoire. Au-delà d’une affaire de justice, Luc Decaster s’est attaché à représenter ce qu’une telle affaire suscite à l’intérieur d’une ville de banlieue ordinaire. Le cinéaste suit les échanges dans les rues de la ville, les entretiens avec les avocats dans les palais de justice, mais aussi les réunions internes du collectif « Vérité et justice pour Ali Ziri ». Au fil de la dramaturgie du film, des retournements de situations et de nouveaux espoirs, se révèlent des personnalités étonnantes d’ingéniosité. Par-delà les échanges, le film interroge la justice française et ses incohérences lorsque des policiers sont mis en cause.
Télérama : Ce témoignage essentiel sonne l'alerte contre les violences policières qui, chaque année, tuent impunément entre dix et quinze personnes.
Le Monde : Si l'histoire n'est pas toujours évidente à suivre, le film jette une lumière crue sur le déni de justice souvent fait aux catégories sociales défavorisées.
Première : Depuis ce jour, un collectif demande justice et vérité. Ténacité, objectivité et rigueur sont les maîtres mots de leur action et définissent remarquablement le documentaire lui-même.
L'Etat français condamné pour la mort d'Ali Ziri. Un reportage de Là-bas si j'y suis à écouter ici
Qui a tué Ali Ziri ?