Réalisateur | Audrey Ginestet |
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Cela fait dix ans que Manon est inculpée dans «l’affaire Tarnac», accusée avec huit autres personnes d’avoir participé à une entreprise terroriste pour des sabotages sur des lignes TGV. À l’approche du procès, je prends ma caméra et rejoins le groupe de femmes qui aide Manon à préparer sa défense.
Cinéma du Réel 2022 – Compétition, Sélection Française – Prix Loridan-Ivens – Cnap
Festival Corsica Doc 2022 – Compétition Nouveaux Talents – Prix du Jury Long Métrage
Écrans du Réel 2022 – Compétition Premier Doc – Mention Spéciale
Filmer le travail 2023 – Compétition internationale – Prix Restitution du travail Contemporain
Les Fiches du cinéma : Après dix ans de bataille judiciaire, le présumé “groupe de Tarnac” aborde les derniers instants précédent son procès. Audrey Ginestet capte ces moments de répétition avant l’instance, soulignant avec talent la solidarité entre les - et autour des - accusés.
Le Monde : Quelques mois avant le procès, Audrey Ginestet filme la préparation de la défense de l’une des accusées, Manon Glibert, soutenue par un groupe de femmes. Relaxe suit ce processus d’apprentissage de la prise de parole. Le jugement du tribunal correctionnel de Paris achève de dégonfler l’affaire, le 12 avril 2018. A voir.
Les Inrockuptibles : Le film devient alors le précieux et inestimable témoignage d’une victoire. Une trace dont nous avons tant besoin en ces temps de répression d’une violence inouïe menée par un gouvernement emmuré dans sa surdité.
Les Cahiers du cinéma : Relaxe est l’anti-Vladimir et Rosa […] Il n’élève pas une tribune pour donner voix aux inculpés, mais construit un espace protégé, un simulacre de tribunal bricolé entre amis pour répéter, bafouiller, trouver ses mots afin de dire tout à la fois les formes d’une vie et d’un engagement.
Cela fait dix ans que Manon est inculpée dans «l’affaire Tarnac», accusée avec huit autres personnes d’avoir participé à une entreprise terroriste pour des sabotages sur des lignes TGV. À l’approche du procès, je prends ma caméra et rejoins le groupe de femmes qui aide Manon à préparer sa défense.
Cinéma du Réel 2022 – Compétition, Sélection Française – Prix Loridan-Ivens – Cnap
Festival Corsica Doc 2022 – Compétition Nouveaux Talents – Prix du Jury Long Métrage
Écrans du Réel 2022 – Compétition Premier Doc – Mention Spéciale
Filmer le travail 2023 – Compétition internationale – Prix Restitution du travail Contemporain
Les Fiches du cinéma : Après dix ans de bataille judiciaire, le présumé “groupe de Tarnac” aborde les derniers instants précédent son procès. Audrey Ginestet capte ces moments de répétition avant l’instance, soulignant avec talent la solidarité entre les - et autour des - accusés.
Le Monde : Quelques mois avant le procès, Audrey Ginestet filme la préparation de la défense de l’une des accusées, Manon Glibert, soutenue par un groupe de femmes. Relaxe suit ce processus d’apprentissage de la prise de parole. Le jugement du tribunal correctionnel de Paris achève de dégonfler l’affaire, le 12 avril 2018. A voir.
Les Inrockuptibles : Le film devient alors le précieux et inestimable témoignage d’une victoire. Une trace dont nous avons tant besoin en ces temps de répression d’une violence inouïe menée par un gouvernement emmuré dans sa surdité.
Les Cahiers du cinéma : Relaxe est l’anti-Vladimir et Rosa […] Il n’élève pas une tribune pour donner voix aux inculpés, mais construit un espace protégé, un simulacre de tribunal bricolé entre amis pour répéter, bafouiller, trouver ses mots afin de dire tout à la fois les formes d’une vie et d’un engagement.
Relaxe