Réalisateurs | Yelnik Clémentine, Sasia Bernard |
Acteurs | Jean-Pierre Darroussin , Ariane Ascaride, Gérard Meylan |
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30 années, 17 films ensemble... Bernard Sasia, chef monteur, emprunte à Robert Guédiguian ses personnages et ses images, démonte ce qu’il a monté pour le remonter et, sans Robert, nous raconte Robert, le montage, la création dans l’ombre, l’amour du cinéma. Par la magie du montage, Ascaride, Darroussin, Meylan deviennent les héros du monteur. Ils se donnent la réplique par delà les films et le temps. Marseille et le cinéma de Guédiguian sont les décors de l’aventure d’une tribu de cinéma, d’une aventure humaine.
Bernard Sasia est un monteur très expérimenté. Depuis qu’il a intégré la "tribu" de Robert Guédiguian, il monte tous ses films. Parmi sa filmographie de monteur très impressionnante, dans différents registres du cinéma, Bernard Sasia a aussi régulièrement travaillé avec Pierre Carles depuis le premier film Pas Vu Pas pris et d’autres cinéastes que l’on retrouve sur CinéMutins (il est probablement le monteur qui a monté le plus de films présents sur CinéMutins !).
En 2013 Bernard Sasia sort son premier film en tant que réalisateur : Robert sans Robert qui sera suivi quelques années plus tard de Mocky sans Mocky.
La Marseillaise : " Avec Robert sans Robert, Bernard Sasia a rebattu les cartes pour le plus grand plaisir des spectateurs les plus fidèles, prouvant que le cinéma est décidément une oeuvre chorale. "
Critikat : " Il y a dans Robert sans Robert un vrai plaisir ludique à naviguer d’une oeuvre à l’autre, à parler de la genèse d’un travail accompli toujours au service du collectif. "
Positif : " Robert sans Robert invite le spectateur à entrer dans la danse, comme un magicien qui va dévoiler ses trucs. On pense au François Truffaut de La Nuit Américaine... Le film installe le spectateur dans un temps intemporel. Avec le côté joyeux d’un album de photos, lorsqu’il revivifie le passé. "
Les fiches du cinéma : " C’est un documentaire unique en son genre : comment avec les images d’un autre raconter à la fois un monde et sa vie, rendre hommage au cinéma en général et faire ressentir le passionnant métier de monteur ? "
30 années, 17 films ensemble... Bernard Sasia, chef monteur, emprunte à Robert Guédiguian ses personnages et ses images, démonte ce qu’il a monté pour le remonter et, sans Robert, nous raconte Robert, le montage, la création dans l’ombre, l’amour du cinéma. Par la magie du montage, Ascaride, Darroussin, Meylan deviennent les héros du monteur. Ils se donnent la réplique par delà les films et le temps. Marseille et le cinéma de Guédiguian sont les décors de l’aventure d’une tribu de cinéma, d’une aventure humaine.
Bernard Sasia est un monteur très expérimenté. Depuis qu’il a intégré la "tribu" de Robert Guédiguian, il monte tous ses films. Parmi sa filmographie de monteur très impressionnante, dans différents registres du cinéma, Bernard Sasia a aussi régulièrement travaillé avec Pierre Carles depuis le premier film Pas Vu Pas pris et d’autres cinéastes que l’on retrouve sur CinéMutins (il est probablement le monteur qui a monté le plus de films présents sur CinéMutins !).
En 2013 Bernard Sasia sort son premier film en tant que réalisateur : Robert sans Robert qui sera suivi quelques années plus tard de Mocky sans Mocky.
La Marseillaise : " Avec Robert sans Robert, Bernard Sasia a rebattu les cartes pour le plus grand plaisir des spectateurs les plus fidèles, prouvant que le cinéma est décidément une oeuvre chorale. "
Critikat : " Il y a dans Robert sans Robert un vrai plaisir ludique à naviguer d’une oeuvre à l’autre, à parler de la genèse d’un travail accompli toujours au service du collectif. "
Positif : " Robert sans Robert invite le spectateur à entrer dans la danse, comme un magicien qui va dévoiler ses trucs. On pense au François Truffaut de La Nuit Américaine... Le film installe le spectateur dans un temps intemporel. Avec le côté joyeux d’un album de photos, lorsqu’il revivifie le passé. "
Les fiches du cinéma : " C’est un documentaire unique en son genre : comment avec les images d’un autre raconter à la fois un monde et sa vie, rendre hommage au cinéma en général et faire ressentir le passionnant métier de monteur ? "
Robert sans Robert