Réalisateur | Belmont Véra |
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Paris, 1952. Nadia une jeune adolescente révoltée de 15 ans est militante aux jeunesses communistes avec plusieurs de ses camarades. Lors d’une manifestation où elle sera blessée, elle fait la rencontre de Stéphane, photographe pour Paris Match. Une véritable histoire d’amour commence alors. Nadia va être bouleversée au niveau de ses engagements politiques et sentimentalement...
Née en 1931, Véra Belmont débute comme actrice dans des séries télévisées des années 1950 comme “Les cinq dernières minutes”. Elle s’engage ensuite dans la carrière de productrice. Ainsi, en 1964, elle produit son premier long métrage, “Les Ruses du Diable” de Paul Vecchiali, puis “La loi du survivant”, le premier film de José Giovanni. En 1970, elle s’associe à François Truffaut pour produire “La Faute de l’abbé Mouret”, “L’Enfance nue” (la première oeuvre de Maurice Pialat) et en 1974, “Un condé”. Avec sa société de production Stephan Films, elle finance en 1975 le premier long métrage du cinéaste André Téchiné, intitulé “Souvenirs d’en France” ; et soutient “La Guerre du feu”, de Jean-Jacques Annaud. Sa première réalisation, “Les oeillets rouges d’Avril”, est suivi en 1977 de son premier long métrage “Prisonniers de Mao”.
Paris, 1952. Nadia une jeune adolescente révoltée de 15 ans est militante aux jeunesses communistes avec plusieurs de ses camarades. Lors d’une manifestation où elle sera blessée, elle fait la rencontre de Stéphane, photographe pour Paris Match. Une véritable histoire d’amour commence alors. Nadia va être bouleversée au niveau de ses engagements politiques et sentimentalement...
Née en 1931, Véra Belmont débute comme actrice dans des séries télévisées des années 1950 comme “Les cinq dernières minutes”. Elle s’engage ensuite dans la carrière de productrice. Ainsi, en 1964, elle produit son premier long métrage, “Les Ruses du Diable” de Paul Vecchiali, puis “La loi du survivant”, le premier film de José Giovanni. En 1970, elle s’associe à François Truffaut pour produire “La Faute de l’abbé Mouret”, “L’Enfance nue” (la première oeuvre de Maurice Pialat) et en 1974, “Un condé”. Avec sa société de production Stephan Films, elle finance en 1975 le premier long métrage du cinéaste André Téchiné, intitulé “Souvenirs d’en France” ; et soutient “La Guerre du feu”, de Jean-Jacques Annaud. Sa première réalisation, “Les oeillets rouges d’Avril”, est suivi en 1977 de son premier long métrage “Prisonniers de Mao”.
Rouge baiser