Réalisateur | Sean Baker |
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Moonee a 6 ans et un sacré caractère.
Lâchée en toute liberté dans un motel de la banlieue de Disney world, elle y fait les 400 coups avec sa petite bande de gamins insolents.
Ses incartades ne semblent pas trop inquiéter Halley, sa très jeune mère.
En situation précaire comme tous les habitants du motel, celle-ci est en effet trop concentrée sur des plans plus ou moins honnêtes pour assurer leur quotidien…
Ecran large : Ce n'est pas un simple mélodrame cadré : c'est une petite odyssée revigorante, colorée, drôle, chatoyante, d'une douceur souvent magnifique, et portée par des acteurs fantastiques. Avec en prime, une conclusion qui transporte le coeur.
Culturopoing.com : Filmant un quotidien sans perspective détourné par le sentiment d'éternité d'enfants virevoltants et mal élevés, Sean Baker construit un récit vif, souvent drôle et profondément attachant qui s'assemble par collages successifs jusqu'à son final lumineux.
Critikat.com : Ce programme de réenchantement par l’hystérie, sous l’angle d’un idéal anarchique, c’est l’une des définitions possibles de l’enfance. Pas n’importe laquelle : précisément celle de la liberté intégrale qui, de Tom Sawyer à la vibrionnante Moonee de ce "The Florida Project", occupe tous les vides du terrain de jeu pour ne pas rimer avec abandon.
L'Humanité : Le réalisme de Sean Baker n'élude rien. A force d attention et de fantaisie, il déjoue tous les pièges de la complaisance.
Moonee a 6 ans et un sacré caractère.
Lâchée en toute liberté dans un motel de la banlieue de Disney world, elle y fait les 400 coups avec sa petite bande de gamins insolents.
Ses incartades ne semblent pas trop inquiéter Halley, sa très jeune mère.
En situation précaire comme tous les habitants du motel, celle-ci est en effet trop concentrée sur des plans plus ou moins honnêtes pour assurer leur quotidien…
Ecran large : Ce n'est pas un simple mélodrame cadré : c'est une petite odyssée revigorante, colorée, drôle, chatoyante, d'une douceur souvent magnifique, et portée par des acteurs fantastiques. Avec en prime, une conclusion qui transporte le coeur.
Culturopoing.com : Filmant un quotidien sans perspective détourné par le sentiment d'éternité d'enfants virevoltants et mal élevés, Sean Baker construit un récit vif, souvent drôle et profondément attachant qui s'assemble par collages successifs jusqu'à son final lumineux.
Critikat.com : Ce programme de réenchantement par l’hystérie, sous l’angle d’un idéal anarchique, c’est l’une des définitions possibles de l’enfance. Pas n’importe laquelle : précisément celle de la liberté intégrale qui, de Tom Sawyer à la vibrionnante Moonee de ce "The Florida Project", occupe tous les vides du terrain de jeu pour ne pas rimer avec abandon.
L'Humanité : Le réalisme de Sean Baker n'élude rien. A force d attention et de fantaisie, il déjoue tous les pièges de la complaisance.
The Florida project