Réalisateur | Loach Ken |
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TJ Ballantyne est le propriétaire du "Old Oak", un pub situé dans une petite bourgade du nord de l’Angleterre.
Il y sert quotidiennement les mêmes habitués désœuvrés pour qui l’endroit est devenu le dernier lieu où se retrouver.
L’arrivée de réfugiés syriens va créer des tensions dans le village.
TJ va cependant se lier d’amitié avec Yara, une jeune migrante passionnée par la photographie.
Ensemble, ils vont tenter de redonner vie à la communauté locale en développant une cantine pour les plus démunis, quelles que soient leurs origines.
Bande à part : Comment ne pas verser toutes les larmes de son corps devant l'humanisme profond et le chant d'espérance de Ken Loach ?
L'Humanité : Le vaillant réalisateur de 87 ans redonne espoir avec son dernier long métrage qui, une fois de plus, se situe dans le nord-est de l’Angleterre, économiquement sinistré.
Télérama : Ce beau récit, qui semble puiser sa force dans toute l’œuvre de Ken Loach, nous prouve, une fois de plus, à quel point le « vieux chêne » est encore vert.
Le Parisien : De manière parfois un peu manichéenne mais souvent bouleversante, « The Old Oak » est traversé par l’espoir. À 87 ans, Ken Loach continue de se révolter contre son époque. Et de lutter avec ses armes : un cinéma social engagé, empathique, humain.
TJ Ballantyne est le propriétaire du "Old Oak", un pub situé dans une petite bourgade du nord de l’Angleterre.
Il y sert quotidiennement les mêmes habitués désœuvrés pour qui l’endroit est devenu le dernier lieu où se retrouver.
L’arrivée de réfugiés syriens va créer des tensions dans le village.
TJ va cependant se lier d’amitié avec Yara, une jeune migrante passionnée par la photographie.
Ensemble, ils vont tenter de redonner vie à la communauté locale en développant une cantine pour les plus démunis, quelles que soient leurs origines.
Bande à part : Comment ne pas verser toutes les larmes de son corps devant l'humanisme profond et le chant d'espérance de Ken Loach ?
L'Humanité : Le vaillant réalisateur de 87 ans redonne espoir avec son dernier long métrage qui, une fois de plus, se situe dans le nord-est de l’Angleterre, économiquement sinistré.
Télérama : Ce beau récit, qui semble puiser sa force dans toute l’œuvre de Ken Loach, nous prouve, une fois de plus, à quel point le « vieux chêne » est encore vert.
Le Parisien : De manière parfois un peu manichéenne mais souvent bouleversante, « The Old Oak » est traversé par l’espoir. À 87 ans, Ken Loach continue de se révolter contre son époque. Et de lutter avec ses armes : un cinéma social engagé, empathique, humain.
The Old Oak