Réalisateurs | Garaño Jon, Goenaga Jose Mari, Arregi Aitor |
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Espagne, 1936. Higinio, partisan républicain, voit sa vie menacée par l’arrivée des troupes franquistes. Avec l’aide de sa femme Rosa, il décide de se cacher dans leur propre maison. La crainte des représailles et l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre condamnent le couple à la captivité.
Le Canard enchaîné : "Une histoire exemplaire, un film populaire."
Les Inrockuptibles : "Adaptée de l’histoire vraie hallucinante d’une “taupe” sous Franco, "Une vie secrète" parvient habilement à joindre la matière théorique de son argument à ce grand geste romanesque qu’est de raconter une vie qui passe."
Libération : "L’enjeu pathétique, admirablement développé, se situe là : tirant vers le versant sédentaire du survival au suspense de plus en plus croupi, le film a la singularité de placer en son centre la relation gâchée du couple, otage de cette coexistence immobile."
Télérama : " Dur, en cette année de confinement et de couvre-feu, d’inciter les spectateurs à découvrir les tourments d’un homme vivant durant trente-trois ans comme une taupe. Essayons toutefois, avec un double éloge d’Antonio de la Torre (...) et de la mise en scène, qui utilise les codes du cinéma d’horreur pour faire ressentir l’effroi de la traque et de l’enfermement."
Espagne, 1936. Higinio, partisan républicain, voit sa vie menacée par l’arrivée des troupes franquistes. Avec l’aide de sa femme Rosa, il décide de se cacher dans leur propre maison. La crainte des représailles et l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre condamnent le couple à la captivité.
Le Canard enchaîné : "Une histoire exemplaire, un film populaire."
Les Inrockuptibles : "Adaptée de l’histoire vraie hallucinante d’une “taupe” sous Franco, "Une vie secrète" parvient habilement à joindre la matière théorique de son argument à ce grand geste romanesque qu’est de raconter une vie qui passe."
Libération : "L’enjeu pathétique, admirablement développé, se situe là : tirant vers le versant sédentaire du survival au suspense de plus en plus croupi, le film a la singularité de placer en son centre la relation gâchée du couple, otage de cette coexistence immobile."
Télérama : " Dur, en cette année de confinement et de couvre-feu, d’inciter les spectateurs à découvrir les tourments d’un homme vivant durant trente-trois ans comme une taupe. Essayons toutefois, avec un double éloge d’Antonio de la Torre (...) et de la mise en scène, qui utilise les codes du cinéma d’horreur pour faire ressentir l’effroi de la traque et de l’enfermement."
Une vie secrète