Réalisateur | Marshall Tonie |
Partager sur |
Angèle est estheticienne à Vénus Beauté, un institut de quartier dirigé par Nadine où clientes et clients confient leurs petits et grands malheurs entre deux soins. Quand Angèle a terminé sa journée, elle drague des hommes avec lesquels elle tente d’établir un rapport minimal fait de sexe et de camaraderie. Elle échoue la plupart du temps. Elle ne croit pas à l’amour et elle a ses raisons. Mais un matin, dans une gare, elle croise Antoine, qui va l’aimer d’un coup et le lui dire d’un trait. Avec Nathalie Baye, Audrey Tautou, Mathilde Seigner
Les Cahiers du cinéma : Tonie Marshall parle des femmes, du monde des femmes, du corps des femmes et du langage des femmes, de leur demande d’amour, sans revendiquer une vision féministe ou militante du monde.
Les Inrockuptibles : Tonie Marshall a réussi un équilibre difficile entre cette émotion et humour vache, avec la fermeté d’un regard aigu et distancié sur son sujet. Un vrai bonheur.
Le Monde : la mise en scène, sans renoncer à accompagner le récit ni l’héroïne, s’ingénie à ouvrir des espaces de durée « superflue », des plages de temps où peuvent exister pour eux-mêmes les protagonistes et ceux qui les incarnent
Angèle est estheticienne à Vénus Beauté, un institut de quartier dirigé par Nadine où clientes et clients confient leurs petits et grands malheurs entre deux soins. Quand Angèle a terminé sa journée, elle drague des hommes avec lesquels elle tente d’établir un rapport minimal fait de sexe et de camaraderie. Elle échoue la plupart du temps. Elle ne croit pas à l’amour et elle a ses raisons. Mais un matin, dans une gare, elle croise Antoine, qui va l’aimer d’un coup et le lui dire d’un trait. Avec Nathalie Baye, Audrey Tautou, Mathilde Seigner
Les Cahiers du cinéma : Tonie Marshall parle des femmes, du monde des femmes, du corps des femmes et du langage des femmes, de leur demande d’amour, sans revendiquer une vision féministe ou militante du monde.
Les Inrockuptibles : Tonie Marshall a réussi un équilibre difficile entre cette émotion et humour vache, avec la fermeté d’un regard aigu et distancié sur son sujet. Un vrai bonheur.
Le Monde : la mise en scène, sans renoncer à accompagner le récit ni l’héroïne, s’ingénie à ouvrir des espaces de durée « superflue », des plages de temps où peuvent exister pour eux-mêmes les protagonistes et ceux qui les incarnent
Vénus, beauté, institut