• Véra

Véra


Image de couverture Véra


Multi-supports
Prix :

Choisissez votre mode d'accès :

Offrir à un ami

Réalisateur

Chomienne Caroline

Partager sur

Véra, jeune danseuse, quitte l’Opéra de Paris et se bat pour intégrer le milieu de la danse contemporaine plus métissé. La métamorphose de la courageuse artiste advient où elle ne l’attend pas.

Note de la réalisatrice

Pour avoir côtoyé et observé la jeunesse urbaine, j’ai voulu raconter, avec la scénariste Corinne Atlas et la chorégraphe Andrea Sitter, comment une jeune artiste cherche sa voie hors des sentiers battus.

Les femmes sont nombreuses à oser ce rêve et franchir le pas : pour aller vers l’inconnu et peut-être s’y réaliser, elles sont prêtes à affronter leur famille, leur amant, leur professeur. Les épreuves peuvent y être rudes.

Ainsi est née Véra, jeune danseuse qui abandonne le prestigieux corps de ballet de l’Opéra où elle vient d’être admise, pour forcer la porte d’un collectif de jeunes artistes en banlieue. Je travaille depuis vingt ans en Seine-Saint-Denis où l’art est vivant, à la croisée de toutes les influences, de toutes les pratiques (peinture, musique, danse...) et destiné tant à la rue qu’au musée.

Le challenge était de recréer un collectif avec des jeunes de toutes les disciplines des arts urbains, et, pour incarner notre héroïne, de choisir une jeune femme aussi bonne comédienne que bonne danseuse, ce qui est rare en France.

La danse apparaissait déjà, avec Kader Attou et sa compagnie, dans mes films Freestyle et Des lendemains qui chantent - tranches de vie de jeunes musiciens à Paris et Marseille, sortis dans les années 2000 et remarqués pour leur liberté de ton. Aujourd’hui j’emprunte plus encore à mon passé de danseuse pour faire surgir la danse du cœur des films, et je donne aux artistes femmes une place centrale. Je raconte leur désir d’émancipation, la solidarité artistique, les questions sociales et raciales, le choix d’aller vers l’inconnu, le dépassement de soi, comme des possibles.

L’entraînement de danseuse et la souplesse de jeu d’Agathe Bonitzer ont permis de tourner Véra avec la légèreté nécessaire au chef opérateur Paolo Carnera (Série Gommora, Erick Zonca, Peter Greenaway) pour entrer dans une mise en scène singulière qui réunit des artistes des quatre horizons : acteurs professionnels et non professionnels, danseurs, peintres, musiciens, boxeurs.

Les chorégraphies sont de Norma Claire et Andrea Sitter, d’origines guyanaise et allemande.

Le film raconte cette rencontre des cultures qui inspire les artistes contemporains. Il est lui-même un bouillon de cultures.


  • Véra

    Véra


    Langue : Multilingue
  • Année de sortie 2018
  • Pays de production France
  • Langue VF
  • Durée 01H27

Véra, jeune danseuse, quitte l’Opéra de Paris et se bat pour intégrer le milieu de la danse contemporaine plus métissé. La métamorphose de la courageuse artiste advient où elle ne l’attend pas.

Note de la réalisatrice

Pour avoir côtoyé et observé la jeunesse urbaine, j’ai voulu raconter, avec la scénariste Corinne Atlas et la chorégraphe Andrea Sitter, comment une jeune artiste cherche sa voie hors des sentiers battus.

Les femmes sont nombreuses à oser ce rêve et franchir le pas : pour aller vers l’inconnu et peut-être s’y réaliser, elles sont prêtes à affronter leur famille, leur amant, leur professeur. Les épreuves peuvent y être rudes.

Ainsi est née Véra, jeune danseuse qui abandonne le prestigieux corps de ballet de l’Opéra où elle vient d’être admise, pour forcer la porte d’un collectif de jeunes artistes en banlieue. Je travaille depuis vingt ans en Seine-Saint-Denis où l’art est vivant, à la croisée de toutes les influences, de toutes les pratiques (peinture, musique, danse...) et destiné tant à la rue qu’au musée.

Le challenge était de recréer un collectif avec des jeunes de toutes les disciplines des arts urbains, et, pour incarner notre héroïne, de choisir une jeune femme aussi bonne comédienne que bonne danseuse, ce qui est rare en France.

La danse apparaissait déjà, avec Kader Attou et sa compagnie, dans mes films Freestyle et Des lendemains qui chantent - tranches de vie de jeunes musiciens à Paris et Marseille, sortis dans les années 2000 et remarqués pour leur liberté de ton. Aujourd’hui j’emprunte plus encore à mon passé de danseuse pour faire surgir la danse du cœur des films, et je donne aux artistes femmes une place centrale. Je raconte leur désir d’émancipation, la solidarité artistique, les questions sociales et raciales, le choix d’aller vers l’inconnu, le dépassement de soi, comme des possibles.

L’entraînement de danseuse et la souplesse de jeu d’Agathe Bonitzer ont permis de tourner Véra avec la légèreté nécessaire au chef opérateur Paolo Carnera (Série Gommora, Erick Zonca, Peter Greenaway) pour entrer dans une mise en scène singulière qui réunit des artistes des quatre horizons : acteurs professionnels et non professionnels, danseurs, peintres, musiciens, boxeurs.

Les chorégraphies sont de Norma Claire et Andrea Sitter, d’origines guyanaise et allemande.

Le film raconte cette rencontre des cultures qui inspire les artistes contemporains. Il est lui-même un bouillon de cultures.


  • Véra

    Véra


    Langue : Multilingue
  • Année de sortie 2018
  • Pays de production France
  • Langue VF
  • Durée 01H27

Vous aimerez aussi


    Offrir "Véra" à un ami

    Paiement 100% sécurisé
    Visionnage en streaming
    Téléchargement des vidéos
    Formules d'abonnement
    Compatible tout support

    Produit ajouté au panier

    Mode :

    Expire le :

    loader waiting image
    loader waiting image