Réalisateur | Thierno Souleymane Diallo |
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En 1953, Mamadou Touré réalise "Mouramani", le tout premier film réalisé par un cinéaste d'Afrique francophone noire. Mais personne ne sait où le trouver. Thierno Souleymane Diallo parcourt la Guinée à la recherche de cette œuvre perdue, utilisant sa caméra pour se confronter à l'Histoire et au cinéma, celui que l'on regarde et celui que l'on fait.
Culturopoing.com : Un plaidoyer poétique et spirituel à la gloire du cinéma, de l’art et de la mémoire.
aVoir-aLire.com : Jeune cinéaste, Thierno Souleymane Diallo part à la recherche du premier film (perdu) de l’histoire du cinéma guinéen. Une épopée picaresque, faussement légère et vraiment passionnante.
Le Monde : On peut raisonnablement escompter que Diallo, averti de son existence durant ses études de cinéma, n’est pas sans savoir que le film est désormais considéré comme perdu. S’il n’en dit rien, c’est que sa quête lui permet de dresser un bilan, assez amer, de la situation du septième art dans son pays.
Libération :Derrière la chasse à l’œuvre, dont l’avancée vouée à l’échec ressemble fort à un prétexte, se tient dès lors un récit plus grand qu’elle. Celui d’un champ de ruines où la Guinée, pays sans archives, a historiquement dû voir mourir son cinéma, parti en cendres après l’invasion portugaise de 1970 et la purge des fabricants d’images.
En 1953, Mamadou Touré réalise "Mouramani", le tout premier film réalisé par un cinéaste d'Afrique francophone noire. Mais personne ne sait où le trouver. Thierno Souleymane Diallo parcourt la Guinée à la recherche de cette œuvre perdue, utilisant sa caméra pour se confronter à l'Histoire et au cinéma, celui que l'on regarde et celui que l'on fait.
Culturopoing.com : Un plaidoyer poétique et spirituel à la gloire du cinéma, de l’art et de la mémoire.
aVoir-aLire.com : Jeune cinéaste, Thierno Souleymane Diallo part à la recherche du premier film (perdu) de l’histoire du cinéma guinéen. Une épopée picaresque, faussement légère et vraiment passionnante.
Le Monde : On peut raisonnablement escompter que Diallo, averti de son existence durant ses études de cinéma, n’est pas sans savoir que le film est désormais considéré comme perdu. S’il n’en dit rien, c’est que sa quête lui permet de dresser un bilan, assez amer, de la situation du septième art dans son pays.
Libération :Derrière la chasse à l’œuvre, dont l’avancée vouée à l’échec ressemble fort à un prétexte, se tient dès lors un récit plus grand qu’elle. Celui d’un champ de ruines où la Guinée, pays sans archives, a historiquement dû voir mourir son cinéma, parti en cendres après l’invasion portugaise de 1970 et la purge des fabricants d’images.
Au cimetière de la pellicule