Réalisateur | Watkins Peter |
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Une biographie très subjective des jeunes années du peintre norvégien expressionniste Edvard Munch, aux prises avec les conventions de la société puritaine de son temps. Un film considéré par beaucoup comme la meilleure œuvre jamais consacrée à l’acte créatif et à la peinture ("un travail de génie" selon Ingmar Bergman). À travers un montage audacieux qui revisite les techniques documentaires et narratives, Edvard Munch est un "cri" personnel autant qu’un portrait de l’artiste et de son milieu.
La critique complète d’Olivier Bitoun sur Dvdclassik à lire ici.
Les Cahiers du cinéma : La réussite du film vient de la manière dont les équivalences entre opinions et affects ne sont pas mises au service d’un trop simple matérialisme critique, par le fait même de leur inaboutissement. On passe des uns aux autres comme on passe, dans un raccord magnifique, du mouvement de deux bouches se joignant pour un baiser au retrait d’un rouleau noir encrant une gravure de Munch.
Le Monde : Le film assume sa subjectivité (le cinéaste y pousse son propre "cri") et utilise une méthode révolutionnaire. (...) Nimbé d’angoisse, de couleurs spasmodiques, d’ambiances crépusculaires, de tension sexuelle et de moribonds blafards, Edvard Munch est un film muni de plusieurs combinaisons, plusieurs serrures.
Le Nouvel Observateur : Un extraordinaire voyage au cœur de la création d’un artiste qui se disait fou. (...) Cet Edvard Munch est sans aucun doute l’un des plus beaux films réalisés sur un peintre.
Réalisation : Peter Watkins
Scénario : Peter Watkins avec les acteurs
Photographie : Odd Geir Saether
Montage : Peter Watkins assisté de Lorne Morris
Son : Kenneth Storm-Hansen et Bjorn Hansen
Éclairage : Erik Daeli, Cato Bautz, Willy Bettvik
Direction artistique : Grethe Hejer
Maquillage : Karin Saether
Costumes : Ada Skolmen
Documentation : Anne Veflingstad
Conseillers artistiques : Knut Jorgensen et Hermann Bendiksen
Conseil sur les dialogues : Ase Vikene
Une biographie très subjective des jeunes années du peintre norvégien expressionniste Edvard Munch, aux prises avec les conventions de la société puritaine de son temps. Un film considéré par beaucoup comme la meilleure œuvre jamais consacrée à l’acte créatif et à la peinture ("un travail de génie" selon Ingmar Bergman). À travers un montage audacieux qui revisite les techniques documentaires et narratives, Edvard Munch est un "cri" personnel autant qu’un portrait de l’artiste et de son milieu.
La critique complète d’Olivier Bitoun sur Dvdclassik à lire ici.
Les Cahiers du cinéma : La réussite du film vient de la manière dont les équivalences entre opinions et affects ne sont pas mises au service d’un trop simple matérialisme critique, par le fait même de leur inaboutissement. On passe des uns aux autres comme on passe, dans un raccord magnifique, du mouvement de deux bouches se joignant pour un baiser au retrait d’un rouleau noir encrant une gravure de Munch.
Le Monde : Le film assume sa subjectivité (le cinéaste y pousse son propre "cri") et utilise une méthode révolutionnaire. (...) Nimbé d’angoisse, de couleurs spasmodiques, d’ambiances crépusculaires, de tension sexuelle et de moribonds blafards, Edvard Munch est un film muni de plusieurs combinaisons, plusieurs serrures.
Le Nouvel Observateur : Un extraordinaire voyage au cœur de la création d’un artiste qui se disait fou. (...) Cet Edvard Munch est sans aucun doute l’un des plus beaux films réalisés sur un peintre.
Réalisation : Peter Watkins
Scénario : Peter Watkins avec les acteurs
Photographie : Odd Geir Saether
Montage : Peter Watkins assisté de Lorne Morris
Son : Kenneth Storm-Hansen et Bjorn Hansen
Éclairage : Erik Daeli, Cato Bautz, Willy Bettvik
Direction artistique : Grethe Hejer
Maquillage : Karin Saether
Costumes : Ada Skolmen
Documentation : Anne Veflingstad
Conseillers artistiques : Knut Jorgensen et Hermann Bendiksen
Conseil sur les dialogues : Ase Vikene
Edvard Munch