Exterminez toutes ces brutes est un voyage dans le temps qui revisite de manière radicale l’histoire du colonialisme européen, de l’Amérique à l’Afrique. Repoussant les frontières du film documentaire de création, Raoul Peck organise une structure dramatique implacable, faite d’images d’archives et de séquences scénarisées incarnées par l’acteur Josh Hartnett (Pearl Harbor), tout en nous guidant à travers les heures les plus sombres de l’humanité jusqu’à aujourd’hui. En quatre épisodes, le cinéaste déconstruit la fabrication et les silences de l’histoire, cette Histoire dont l’Occident a constamment tordu les réalités. Il met à jour, sans compromis, l’idéologie du suprémacisme blanc et du racisme, obligeant le spectateur à repenser sa propre histoire intime et officielle.
1ere partie : La troublante conviction de l’ignorance
Le cinéaste Raoul Peck parcourt les courants de civilisation, de colonisation et d’extermination qui constituent l’histoire même de l’Occident. À partir de ces trois mots clés, qui définissent l’essence même du développement de l’Europe, il reconstitue les enchaînements de cette histoire tragique.
2e partie : P***** de Christophe Colomb
De Christophe Colomb à l’esclavage des Africains, Raoul Peck interroge et met en abîme sa trajectoire personnelle face à la «vraie» histoire telle que racontée et figée par ceux qui se sont assumés comme «vainqueurs».
3e partie : Tuer à distance
Peck établit le lien d’interdépendance entre les innovations industrielles européennes en matière d’armement et le cycle sans fin d’opérations militaires et de conquêtes menées au cours des siècles.
4e partie. Les belles couleurs du fascisme
Dans un épilogue personnel, Raoul Peck relie la résurgence du nationalisme blanc à l’histoire mondiale du fascisme, de l’esclavage, du colonialisme et de l’Holocauste.
Exterminez toutes ces brutes est un voyage dans le temps qui revisite de manière radicale l’histoire du colonialisme européen, de l’Amérique à l’Afrique. Repoussant les frontières du film documentaire de création, Raoul Peck organise une structure dramatique implacable, faite d’images d’archives et de séquences scénarisées incarnées par l’acteur Josh Hartnett (Pearl Harbor), tout en nous guidant à travers les heures les plus sombres de l’humanité jusqu’à aujourd’hui. En quatre épisodes, le cinéaste déconstruit la fabrication et les silences de l’histoire, cette Histoire dont l’Occident a constamment tordu les réalités. Il met à jour, sans compromis, l’idéologie du suprémacisme blanc et du racisme, obligeant le spectateur à repenser sa propre histoire intime et officielle.
1ere partie : La troublante conviction de l’ignorance
Le cinéaste Raoul Peck parcourt les courants de civilisation, de colonisation et d’extermination qui constituent l’histoire même de l’Occident. À partir de ces trois mots clés, qui définissent l’essence même du développement de l’Europe, il reconstitue les enchaînements de cette histoire tragique.
2e partie : P***** de Christophe Colomb
De Christophe Colomb à l’esclavage des Africains, Raoul Peck interroge et met en abîme sa trajectoire personnelle face à la «vraie» histoire telle que racontée et figée par ceux qui se sont assumés comme «vainqueurs».
3e partie : Tuer à distance
Peck établit le lien d’interdépendance entre les innovations industrielles européennes en matière d’armement et le cycle sans fin d’opérations militaires et de conquêtes menées au cours des siècles.
4e partie. Les belles couleurs du fascisme
Dans un épilogue personnel, Raoul Peck relie la résurgence du nationalisme blanc à l’histoire mondiale du fascisme, de l’esclavage, du colonialisme et de l’Holocauste.
Exterminez toutes ces brutes (Episode 1)
Exterminez toutes ces brutes (Episode 2)
Exterminez toutes ces brutes (Episode 3)
Exterminez toutes ces brutes (Episode 4)