Réalisateur | Gendarme-Cerquetti Rémi |
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Ce que j'entends depuis que je fais des films : film de niche, documentaire, reportage, film d'handicapé depuis que je fais du cinéma, ça me bouffe. Les films de kung fu me nourrissent, les documentaires de 9 heures sur les usines chinoises aussi. Pour les documentaires comme pour les blockbuster l'expérience spectatorielle est la même. Alors pourquoi du financement à la réception tout diffère ? Extrait de l'intervention de Rémi Gendarme-Cerquetti au Festival Jean Rouch
Dans les années 80, ceux qui me voyaient pouvaient se dire “ cet enfant handicapé tellement mignon, il ne va pas vivre bien longtemps ”. Alors il fallait aller à Garches. Là-bas, on soignait, on soignait... on réparait. On mettait droit et c'était dur.
Fils de Garches est d'abord une proposition poétique sur l’exercice de la mémoire et l’appropriation d’un passé douloureux. Celui d’un enfant handicapé et confronté aux soins orthopédiques lourds dans les années 80. Je retourne sur un lieu fort de mon enfance, l’hôpital de Garches, où jusqu’à l’adolescence je vais régulièrement pour me faire “redresser”. Entre déambulations et convocations de mes souvenirs, rencontres avec d'autres anciens enfants et confrontation avec d’anciens médecins, je tente de créer une « communauté de souvenirs ».
(cliquer sur le titre pour lire l'article)
- Commentaire du Jury du Festival International Jean Rouch (2020)
- Télérama (2023)
- Libération (2022)
- France 3 Bretagne (2022)
- Retour d'Image Cinéma et Handicap (2024)
- Sens Critique (2022)
- Il était une fois LE CINÉMA
- PREMIÈRE
- A voir A lire (2022)
- Handicap.fr
- EspaceInfirmier.fr (2022)
- Festival International Jean Rouch, 2020 : Débat avec Rémi Gendarme-Cerquetti animé par Barbara Fougère, doctorante en cinéma à l'université Paris 1 Sorbonne, Henri-Jacques Stiker, philosophe, historien, anthropologue et Cécile Morin, porte-parole du Collectif lutte et handicaps pour l’égalité et l’émancipationon
- The Extraordinary Film Festival
- Prologue de l'Alca (région Nouvelle Aquitaine)
- OpenEdition Books
- France Bleu Armorique (2021)
Remerciement au Festival Jean Rouch par Rémi Gendarme-Cerquetti
Je voudrais d'abord vous faire part de deux pensées.
D'abord il y a un concept et un nouveau mot : le validisme. On le dit un peu dans le film. Pour l'heure, je ne veux pas me perdre en définition aléatoire. Des définitions, on commence à en trouver sur internet. Quelque chose du monde fait par les valides et pour les valides. Comme on dit, par les hommes et pour les hommes, par les blancs pour les blancs. Vous voyez
Il nous faut que ce mot soit reconnu, qu'il existe partout, à l'école et dans le dictionnaire. Dans toutes les institutions.
Ensuite, nous en avons beaucoup parlé avec Barbara, c'est quoi ce truc-machin qui a été primé ? Ce que j'entends depuis que je fais des films : film de niche, documentaire, reportage, film d'handicapé depuis que je fais du cinéma, ça me bouffe. Les films de kung fu me nourrissent, les documentaires de 9 heures sur les usines chinoises aussi. Pour les documentaires comme pour les blockboster l'expérience spectatorielle est la même. Alors pourquoi du financement à la réception tout diffère ? On fait des films, on voit des films, on montre des films. Les films-poubelles j'en ai 200 000 dans mon ordinateur, pas de soucis, mais pour pouvoir dire que des regards sont précieux, il faut rencontrer et il faut que des festivals, que celui-ci existe, partout. Tout comme des petites associations près de chez-vous. Il faut cultiver pour que le documentaire existe comme cinéma.
Je suis heureux que ce film existe. Je remercie à fond la caisse mes 2 productrices, Julie N van Qui et Marie-Odile Gazin. Toute l'équipe du film, toutes et tous les handicapé.es du monde, celles et ceux du film qui ont accepté de se risquer à s'entretenir avec moi. Francine Lemaitre, la monteuse qui m'a montré ma place. David Chiesa qui envoie du bois. À Janine, Chloé et Stéphanie, Sarah et François.
Présentation projection Angoulême par Rémi Gendarme-Cerquetti
Alors déjà merci à vous toutes et vous tous, merci de regarder ce film que j'ai fait en 2018 et après.
Mais au fait, quel est ce film ? Il serait d'après moi trop évident de dire : “Un film sur le handicap”. Un reportage façon M6, Enquêtes d'action vraiment vrai, du 100% informatif qui ne raconte rien du tout. Ou encore un film sur une institution. La torture du “quel est le sujet”, on en fini plus.
Le sujet, j'en parle au début du film “pour une fois nos images sur nous-mêmes, nos souvenirs par nos voix”. C'est que l'enjeu me semble être là aujourd'hui. Aller chercher une parole des personnes concernées. Une parole, des souvenirs oubliés ou en passe de l'être.
Il m'a toujours semblé que l'essentiel pour moi était de faire un film d'histoire. Un film sur des souvenirs de mon enfance. Plus tard, j'ai découvert que nous avions en fait toutes et tous les mêmes. Il ne s'agit pas pour moi de dénoncer, mais plutôt dire que toutes ces images, ces souvenirs, nous appartiennent.
Donc faire un film sur une maladie, un handicap, une technique développée par Monsieur Machin, non.
Et il y a David, un ami contrebassiste de grand talent qui, à su dire l'indicible. Mettre des sons sur un territoire que tout le monde va oublier.
Et puis bon, concluons, les images. Il se trouve que pile-poil, lorsque nous étions enfants, le paysage audiovisuel français se dotait d'une émission de charity-business dont nous souffrons encore aujourd'hui. Alors j'ai plongé dedans, et parce que, en étant réalisateur on fait ce qu'on veut, je me suis fait plaisir. J'espère que vous rigolerez. Je vous souhaite un très bon film.
Prix Bartok, Festival International Jean Rouch, 2020
Images en bibliothèques, Paris, 2020
Le mois du Film Documentaire en Bretagne, 2020
Festival Traces de Vies 2020 année sans festival
Programmé à la Cinémathèque du Documentaire, Beaubourg, 2021
Festival du Film Social (La vingt-cinquième Image) Montrouge, 2021
The Extraordinary Film Festival de Namur, 2021
Conférence ALTER, Bruxelles, 2022
Diffusion Telerama.fr 2023 (TTT)
Journée d’étude « La place des artistes dans les luttes antivalidistes » ENS Lyon 2023
Rémi Gendarme-Cerquetti est auteur-réalisateur de films documentaires. Il est né en 1983, décédé en 2024. Après des études de mathématiques, il choisit de suivre une licence d'art du spectacle option cinéma à Bordeaux. Il découvre alors le cinéma documentaire. Puis il obtient un Master de réalisation de Documentaires de création (Créadoc à Angoulême). Ses films Riolette Autopsie et Une affaire de décor ont été sélectionnés et primés dans plusieurs festivals. En 2012, il choisit de se consacrer à la réalisation de son premier film professionnel Fils de Garches qui verra le jour en 2020 et qui obtiendra le prix Bela Bartok au festival international Jean Rouch du film anthropologique. Entretemps, en 2016, après un épisode médical dont il ne pouvait pas se douter, il est contraint de vivre avec une trachéotomie qui entrave sa diction et son rythme de parole. En 2018, devant les difficultés d'installation de son joystick, il cesse volontairement de conduire son fauteuil roulant électrique. Néanmoins ses activités de créations restent prioritaires. Il travaille à la réalisation radiophonique de son livre Carnet de bord pour un voyage merdique (Ed. Sinope, 2022) grâce à la bourse Gulliver qu'il a obtenu en 2023 et le soutien du ministère de la Culture. Rémi Gendarme-Cerquetti en est l'auteur et la réalisation est faite par Mariannick Bellot avec l'aide de Chloé Truchon. Le podcast est sorti sur les ondes de la RTBF début 2025 (à écouter sur le site de la RTBF). Il est également l'auteur du livre Je n'accepterai aucune assistante sexuelle si lui faire l'amour ne la fait pas elle-même trembler de plaisir aux (Ed. FLBLB, 2014).
2005 : Bordeaux 1 : On fait c'qu'on peut avec c'qu'on a (documentaire, 44 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, film indisponible)
2007 : Le prix du lait-fraise (documentaire, 66 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, O. Gomez, C. Lafont)
2008 : Circulation de la parole (fiction, 20 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, E. Thominet)
2011 : Ce que nous sommes (fiction sonore, 32 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti)
2012 : Riolette Autopsie (documentaire, 21 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) édité par LFD.
Prix du public festival « Silence, on court ! », Paris, mars 2013
2012 : Lettre à Mémé (documentaire, 4 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) édité par LFD
2012 : Une affaire de décor (documentaire, 80 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) édité par LFD.
Grand prix Corsica doc novembre 2012 ; prix Maif du film de formation audiovisuelle, festival « Traces de vie » de Clermont-Ferrand, décembre 2013 ; projection au festival international du film de La Rochelle, juillet 2014
2013 : Cinéma-Carte-Postal#1 (documentaire, 13 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) lien youtube, édité par LFD
2014 : Pairs#1 (documentaire, 21 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti)
2016 : Le désir (documentaire, 8 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, interprète : C. Truchon)
2020 : Fils de Garches (production The Kingdom, Paris)
Réalisation : 2017-2020
Année sortie : 2020
Durée : 1h26
Production distribution The Kingdom
Aides régions Nouvelle Aquitaine, Bretagne Breizh, CNC
Ce que j'entends depuis que je fais des films : film de niche, documentaire, reportage, film d'handicapé depuis que je fais du cinéma, ça me bouffe. Les films de kung fu me nourrissent, les documentaires de 9 heures sur les usines chinoises aussi. Pour les documentaires comme pour les blockbuster l'expérience spectatorielle est la même. Alors pourquoi du financement à la réception tout diffère ? Extrait de l'intervention de Rémi Gendarme-Cerquetti au Festival Jean Rouch
Dans les années 80, ceux qui me voyaient pouvaient se dire “ cet enfant handicapé tellement mignon, il ne va pas vivre bien longtemps ”. Alors il fallait aller à Garches. Là-bas, on soignait, on soignait... on réparait. On mettait droit et c'était dur.
Fils de Garches est d'abord une proposition poétique sur l’exercice de la mémoire et l’appropriation d’un passé douloureux. Celui d’un enfant handicapé et confronté aux soins orthopédiques lourds dans les années 80. Je retourne sur un lieu fort de mon enfance, l’hôpital de Garches, où jusqu’à l’adolescence je vais régulièrement pour me faire “redresser”. Entre déambulations et convocations de mes souvenirs, rencontres avec d'autres anciens enfants et confrontation avec d’anciens médecins, je tente de créer une « communauté de souvenirs ».
(cliquer sur le titre pour lire l'article)
- Commentaire du Jury du Festival International Jean Rouch (2020)
- Télérama (2023)
- Libération (2022)
- France 3 Bretagne (2022)
- Retour d'Image Cinéma et Handicap (2024)
- Sens Critique (2022)
- Il était une fois LE CINÉMA
- PREMIÈRE
- A voir A lire (2022)
- Handicap.fr
- EspaceInfirmier.fr (2022)
- Festival International Jean Rouch, 2020 : Débat avec Rémi Gendarme-Cerquetti animé par Barbara Fougère, doctorante en cinéma à l'université Paris 1 Sorbonne, Henri-Jacques Stiker, philosophe, historien, anthropologue et Cécile Morin, porte-parole du Collectif lutte et handicaps pour l’égalité et l’émancipationon
- The Extraordinary Film Festival
- Prologue de l'Alca (région Nouvelle Aquitaine)
- OpenEdition Books
- France Bleu Armorique (2021)
Remerciement au Festival Jean Rouch par Rémi Gendarme-Cerquetti
Je voudrais d'abord vous faire part de deux pensées.
D'abord il y a un concept et un nouveau mot : le validisme. On le dit un peu dans le film. Pour l'heure, je ne veux pas me perdre en définition aléatoire. Des définitions, on commence à en trouver sur internet. Quelque chose du monde fait par les valides et pour les valides. Comme on dit, par les hommes et pour les hommes, par les blancs pour les blancs. Vous voyez
Il nous faut que ce mot soit reconnu, qu'il existe partout, à l'école et dans le dictionnaire. Dans toutes les institutions.
Ensuite, nous en avons beaucoup parlé avec Barbara, c'est quoi ce truc-machin qui a été primé ? Ce que j'entends depuis que je fais des films : film de niche, documentaire, reportage, film d'handicapé depuis que je fais du cinéma, ça me bouffe. Les films de kung fu me nourrissent, les documentaires de 9 heures sur les usines chinoises aussi. Pour les documentaires comme pour les blockboster l'expérience spectatorielle est la même. Alors pourquoi du financement à la réception tout diffère ? On fait des films, on voit des films, on montre des films. Les films-poubelles j'en ai 200 000 dans mon ordinateur, pas de soucis, mais pour pouvoir dire que des regards sont précieux, il faut rencontrer et il faut que des festivals, que celui-ci existe, partout. Tout comme des petites associations près de chez-vous. Il faut cultiver pour que le documentaire existe comme cinéma.
Je suis heureux que ce film existe. Je remercie à fond la caisse mes 2 productrices, Julie N van Qui et Marie-Odile Gazin. Toute l'équipe du film, toutes et tous les handicapé.es du monde, celles et ceux du film qui ont accepté de se risquer à s'entretenir avec moi. Francine Lemaitre, la monteuse qui m'a montré ma place. David Chiesa qui envoie du bois. À Janine, Chloé et Stéphanie, Sarah et François.
Présentation projection Angoulême par Rémi Gendarme-Cerquetti
Alors déjà merci à vous toutes et vous tous, merci de regarder ce film que j'ai fait en 2018 et après.
Mais au fait, quel est ce film ? Il serait d'après moi trop évident de dire : “Un film sur le handicap”. Un reportage façon M6, Enquêtes d'action vraiment vrai, du 100% informatif qui ne raconte rien du tout. Ou encore un film sur une institution. La torture du “quel est le sujet”, on en fini plus.
Le sujet, j'en parle au début du film “pour une fois nos images sur nous-mêmes, nos souvenirs par nos voix”. C'est que l'enjeu me semble être là aujourd'hui. Aller chercher une parole des personnes concernées. Une parole, des souvenirs oubliés ou en passe de l'être.
Il m'a toujours semblé que l'essentiel pour moi était de faire un film d'histoire. Un film sur des souvenirs de mon enfance. Plus tard, j'ai découvert que nous avions en fait toutes et tous les mêmes. Il ne s'agit pas pour moi de dénoncer, mais plutôt dire que toutes ces images, ces souvenirs, nous appartiennent.
Donc faire un film sur une maladie, un handicap, une technique développée par Monsieur Machin, non.
Et il y a David, un ami contrebassiste de grand talent qui, à su dire l'indicible. Mettre des sons sur un territoire que tout le monde va oublier.
Et puis bon, concluons, les images. Il se trouve que pile-poil, lorsque nous étions enfants, le paysage audiovisuel français se dotait d'une émission de charity-business dont nous souffrons encore aujourd'hui. Alors j'ai plongé dedans, et parce que, en étant réalisateur on fait ce qu'on veut, je me suis fait plaisir. J'espère que vous rigolerez. Je vous souhaite un très bon film.
Prix Bartok, Festival International Jean Rouch, 2020
Images en bibliothèques, Paris, 2020
Le mois du Film Documentaire en Bretagne, 2020
Festival Traces de Vies 2020 année sans festival
Programmé à la Cinémathèque du Documentaire, Beaubourg, 2021
Festival du Film Social (La vingt-cinquième Image) Montrouge, 2021
The Extraordinary Film Festival de Namur, 2021
Conférence ALTER, Bruxelles, 2022
Diffusion Telerama.fr 2023 (TTT)
Journée d’étude « La place des artistes dans les luttes antivalidistes » ENS Lyon 2023
Rémi Gendarme-Cerquetti est auteur-réalisateur de films documentaires. Il est né en 1983, décédé en 2024. Après des études de mathématiques, il choisit de suivre une licence d'art du spectacle option cinéma à Bordeaux. Il découvre alors le cinéma documentaire. Puis il obtient un Master de réalisation de Documentaires de création (Créadoc à Angoulême). Ses films Riolette Autopsie et Une affaire de décor ont été sélectionnés et primés dans plusieurs festivals. En 2012, il choisit de se consacrer à la réalisation de son premier film professionnel Fils de Garches qui verra le jour en 2020 et qui obtiendra le prix Bela Bartok au festival international Jean Rouch du film anthropologique. Entretemps, en 2016, après un épisode médical dont il ne pouvait pas se douter, il est contraint de vivre avec une trachéotomie qui entrave sa diction et son rythme de parole. En 2018, devant les difficultés d'installation de son joystick, il cesse volontairement de conduire son fauteuil roulant électrique. Néanmoins ses activités de créations restent prioritaires. Il travaille à la réalisation radiophonique de son livre Carnet de bord pour un voyage merdique (Ed. Sinope, 2022) grâce à la bourse Gulliver qu'il a obtenu en 2023 et le soutien du ministère de la Culture. Rémi Gendarme-Cerquetti en est l'auteur et la réalisation est faite par Mariannick Bellot avec l'aide de Chloé Truchon. Le podcast est sorti sur les ondes de la RTBF début 2025 (à écouter sur le site de la RTBF). Il est également l'auteur du livre Je n'accepterai aucune assistante sexuelle si lui faire l'amour ne la fait pas elle-même trembler de plaisir aux (Ed. FLBLB, 2014).
2005 : Bordeaux 1 : On fait c'qu'on peut avec c'qu'on a (documentaire, 44 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, film indisponible)
2007 : Le prix du lait-fraise (documentaire, 66 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, O. Gomez, C. Lafont)
2008 : Circulation de la parole (fiction, 20 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, E. Thominet)
2011 : Ce que nous sommes (fiction sonore, 32 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti)
2012 : Riolette Autopsie (documentaire, 21 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) édité par LFD.
Prix du public festival « Silence, on court ! », Paris, mars 2013
2012 : Lettre à Mémé (documentaire, 4 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) édité par LFD
2012 : Une affaire de décor (documentaire, 80 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) édité par LFD.
Grand prix Corsica doc novembre 2012 ; prix Maif du film de formation audiovisuelle, festival « Traces de vie » de Clermont-Ferrand, décembre 2013 ; projection au festival international du film de La Rochelle, juillet 2014
2013 : Cinéma-Carte-Postal#1 (documentaire, 13 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti) lien youtube, édité par LFD
2014 : Pairs#1 (documentaire, 21 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti)
2016 : Le désir (documentaire, 8 minutes, réal : R. Gendarme-Cerquetti, interprète : C. Truchon)
2020 : Fils de Garches (production The Kingdom, Paris)
Réalisation : 2017-2020
Année sortie : 2020
Durée : 1h26
Production distribution The Kingdom
Aides régions Nouvelle Aquitaine, Bretagne Breizh, CNC
Fils de Garches