Réalisateur | Réglat Nicolas |
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Espagne, septembre 1973. Cinq membres du M.I.L. (Mouvement Ibérique de Libération) risquent d’être condamnés à mort par la justice franquiste. En France, plusieurs groupes d’activistes décident alors d’unir leurs forces dans un réseau appelé G.A.R.I (Groupes d’Action Révolutionnaire Internationalistes). Ce film retrace une histoire incroyable racontée par ses « acteurs » qui ne cuisinent pas que du lapin !
Quarante ans plus tard, le réalisateur, qui a grandi dans le secret de cette aventure, profite de la fin du délai de prescription pour donner la parole à des membres de sa famille et d’autres anciens des G.A.R.I qui nous parlent de cette époque, de l’enlèvement du banquier Suarez pour réclamer la libération des camarades, des actions mises en œuvre pour lutter contre la dictature et des conséquences de leurs actes.
Les fiches du cinéma : "Une mise en scène originale, une approche singulière du mot “héros” et des témoignages directs uniques font de G.A.R.I une petite pépite."
Politis : "Le film se fait archive de la mémoire d’une lutte qui, elle aussi, était vouée à la clandestinité."
Le Canard Enchainé : "Enlever un inconnu pour sauver des camarades, qu’est-ce que ça fait ? Épluchant de l’ail dans la cuisine ou lustrant une carabine Manufrance, ils répondent."
Le Monde : "Direct et revigorant."
France Inter : "C’est comme un polar et c’est très bien fait".
Écriture et réalisation : Nicolas Réglat
Image : Guillaume Brault
Son : Cyril Legrain
Montage : Fabien Daguerre
Production : Philippe Aussel
Direction de production : Chantal Teyssier
Espagne, septembre 1973. Cinq membres du M.I.L. (Mouvement Ibérique de Libération) risquent d’être condamnés à mort par la justice franquiste. En France, plusieurs groupes d’activistes décident alors d’unir leurs forces dans un réseau appelé G.A.R.I (Groupes d’Action Révolutionnaire Internationalistes). Ce film retrace une histoire incroyable racontée par ses « acteurs » qui ne cuisinent pas que du lapin !
Quarante ans plus tard, le réalisateur, qui a grandi dans le secret de cette aventure, profite de la fin du délai de prescription pour donner la parole à des membres de sa famille et d’autres anciens des G.A.R.I qui nous parlent de cette époque, de l’enlèvement du banquier Suarez pour réclamer la libération des camarades, des actions mises en œuvre pour lutter contre la dictature et des conséquences de leurs actes.
Les fiches du cinéma : "Une mise en scène originale, une approche singulière du mot “héros” et des témoignages directs uniques font de G.A.R.I une petite pépite."
Politis : "Le film se fait archive de la mémoire d’une lutte qui, elle aussi, était vouée à la clandestinité."
Le Canard Enchainé : "Enlever un inconnu pour sauver des camarades, qu’est-ce que ça fait ? Épluchant de l’ail dans la cuisine ou lustrant une carabine Manufrance, ils répondent."
Le Monde : "Direct et revigorant."
France Inter : "C’est comme un polar et c’est très bien fait".
Écriture et réalisation : Nicolas Réglat
Image : Guillaume Brault
Son : Cyril Legrain
Montage : Fabien Daguerre
Production : Philippe Aussel
Direction de production : Chantal Teyssier
G.A.R.I