Réalisateur | Landeck Andreas |
Partager sur |
Sélectionné au Festival de Groland
Ce documentaire construit comme un polar, met en scène l’investigation menée par Alphonse, sorte de Columbo cévenol, pour chercher son oiseau rare, un choucas. À travers sa quête burlesque, il s’interroge sur la métamorphose de ce coin d’Occitanie et jette une lumière crue sur une économie trop dépendante du tourisme, une évolution revendiquée avec une langue de bois impayable par les élus de la ville. Alphonse libère la parole à la manière d’un Michael Moore. Le maître du suspense et la gentrification rurale, une autopsie des choucas en cavale. Gardarem les choucas !
Sous-titres disponibles : English, German, Français
À travers le personnage d’Alphonse, Uzétien de souche et journaliste contrarié, le film entremêle les deux genres, documentaire et fiction, pour raconter la problématique de cette petite ville qui se trouve en pleine transformation. Les résidences secondaires se sont multipliées par milliers et les surfaces agricoles ou la garrigue ne cessent de disparaître. On construit des grandes surfaces, pour que les visiteurs ne manquent de rien, alors que une grande partie de la population locale n’en veut pas. Les choucas sont la métaphore pour évoquer les autochtones qui ont parfois, pour ne pas dire souvent, du mal à se loger, à rester au pays pour y vivre selon leurs traditions.
Alphonse diligente avec naïveté et intelligence son enquête, qui est aussi un clin d’œil à l’œuvre d’Alfred Hitchcock. Il fait parler les habitants du terroir pour savoir si, au-delà d’une cohabitation possible entre hommes et oiseaux, il est envisageable de préserver pour tous, natifs et nouveaux arrivants, un terroir rural, un art de vivre dans lequel chacun se retrouve, tout en allant vers la modernité.
Producteur, réalisateur, caméra et scénario : Andreas Landeck
Alphonse est interprété par Michel Lafont
Montage : Clément Baratte
Ingénieur son post-production et sound design : Nicolas Verhaeghe
Musique originale : JC Quilez, Rémi Balmassière et Florian Duclaye
Photographe plateau, deuxième caméra et assistant global : Francis Tesorio
Chef machiniste et assistant global : Arthur Bourbon
Décor : Iva Tesorio
Plan « tir du sanglier » : Bruce Boar Hunter
Sélectionné au Festival de Groland
Ce documentaire construit comme un polar, met en scène l’investigation menée par Alphonse, sorte de Columbo cévenol, pour chercher son oiseau rare, un choucas. À travers sa quête burlesque, il s’interroge sur la métamorphose de ce coin d’Occitanie et jette une lumière crue sur une économie trop dépendante du tourisme, une évolution revendiquée avec une langue de bois impayable par les élus de la ville. Alphonse libère la parole à la manière d’un Michael Moore. Le maître du suspense et la gentrification rurale, une autopsie des choucas en cavale. Gardarem les choucas !
Sous-titres disponibles : English, German, Français
À travers le personnage d’Alphonse, Uzétien de souche et journaliste contrarié, le film entremêle les deux genres, documentaire et fiction, pour raconter la problématique de cette petite ville qui se trouve en pleine transformation. Les résidences secondaires se sont multipliées par milliers et les surfaces agricoles ou la garrigue ne cessent de disparaître. On construit des grandes surfaces, pour que les visiteurs ne manquent de rien, alors que une grande partie de la population locale n’en veut pas. Les choucas sont la métaphore pour évoquer les autochtones qui ont parfois, pour ne pas dire souvent, du mal à se loger, à rester au pays pour y vivre selon leurs traditions.
Alphonse diligente avec naïveté et intelligence son enquête, qui est aussi un clin d’œil à l’œuvre d’Alfred Hitchcock. Il fait parler les habitants du terroir pour savoir si, au-delà d’une cohabitation possible entre hommes et oiseaux, il est envisageable de préserver pour tous, natifs et nouveaux arrivants, un terroir rural, un art de vivre dans lequel chacun se retrouve, tout en allant vers la modernité.
Producteur, réalisateur, caméra et scénario : Andreas Landeck
Alphonse est interprété par Michel Lafont
Montage : Clément Baratte
Ingénieur son post-production et sound design : Nicolas Verhaeghe
Musique originale : JC Quilez, Rémi Balmassière et Florian Duclaye
Photographe plateau, deuxième caméra et assistant global : Francis Tesorio
Chef machiniste et assistant global : Arthur Bourbon
Décor : Iva Tesorio
Plan « tir du sanglier » : Bruce Boar Hunter
Hitchcock à Uzès