Réalisateur | Salles Walter |
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L’histoire (vraie) de Rubens Paiva, ex-député de gauche disparu sous la dictature militaire au Brésil.
Un film phénomène au Brésil.
Rio, 1971, sous la dictature militaire. La grande maison des Paiva, près de la plage, est un havre de vie, de paroles partagées, de jeux, de rencontres. Jusqu'au jour où des hommes du régime viennent arrêter Rubens, le père de famille, qui disparait sans laisser de traces. Sa femme Eunice et ses cinq enfants mèneront alors un combat acharné pour la recherche de la vérité...
L'Humanité : Walter Salles signe un drame et un thriller politique monumental et bouleversant.
aVoir-aLire.com : Walter Salles subjugue littéralement les spectateurs dans une fresque familiale vertigineuse qui dissèque avec force les ravages de vingt années de dictature militaire au Brésil.
Ecran large : Walter Salles livre peut-être son meilleur film avec "Je suis toujours là", grand film politique et historique sur l’importance de la transmission et de la mémoire.
Positif : Walter Salles entrelace le combat individuel de cette femme, gardienne de la mémoire de sa famille brisée et le récit collectif de la lente reconstruction d’un pays abîmé par les crimes de la dictature.
Télérama : Dans la vie, Eunice Paiva, devenue avocate à 48 ans, a bataillé pour les siens mais aussi pour les droits des autochtones contre les « voleurs de terre ». À l’écran, l’extraordinaire Fernanda Torres, récompensée par un Golden Globe de la meilleure actrice tout récemment, lui prête un maintien de reine et une sensibilité à fleur de visage.
Lire l'article complet sur Le Monde du 18 janvier 2025
L’histoire (vraie) de Rubens Paiva, ex-député de gauche disparu sous la dictature militaire au Brésil.
Un film phénomène au Brésil.
Rio, 1971, sous la dictature militaire. La grande maison des Paiva, près de la plage, est un havre de vie, de paroles partagées, de jeux, de rencontres. Jusqu'au jour où des hommes du régime viennent arrêter Rubens, le père de famille, qui disparait sans laisser de traces. Sa femme Eunice et ses cinq enfants mèneront alors un combat acharné pour la recherche de la vérité...
L'Humanité : Walter Salles signe un drame et un thriller politique monumental et bouleversant.
aVoir-aLire.com : Walter Salles subjugue littéralement les spectateurs dans une fresque familiale vertigineuse qui dissèque avec force les ravages de vingt années de dictature militaire au Brésil.
Ecran large : Walter Salles livre peut-être son meilleur film avec "Je suis toujours là", grand film politique et historique sur l’importance de la transmission et de la mémoire.
Positif : Walter Salles entrelace le combat individuel de cette femme, gardienne de la mémoire de sa famille brisée et le récit collectif de la lente reconstruction d’un pays abîmé par les crimes de la dictature.
Télérama : Dans la vie, Eunice Paiva, devenue avocate à 48 ans, a bataillé pour les siens mais aussi pour les droits des autochtones contre les « voleurs de terre ». À l’écran, l’extraordinaire Fernanda Torres, récompensée par un Golden Globe de la meilleure actrice tout récemment, lui prête un maintien de reine et une sensibilité à fleur de visage.
Lire l'article complet sur Le Monde du 18 janvier 2025
Je suis toujours là