Réalisateur | Weira Amina |
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Dans ma ville d’origine Arlit, au Nord du Niger, Areva exploite l’uranium depuis 1976. Aujourd’hui, une bonne partie de cette région, balayée par les vents de sable, est contaminée. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt. Cette exploitation a complètement désorganisé la vie de la population. Une partie de l’année, de violents vents de sable enveloppent entièrement la ville. Ce vent de poussière propage des substances radioactives. Chacun cherche un abri. La ville devient calme, toutes les activités sont stoppées. Mon père, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au cœur de ce film. Il va dépoussiérer ses souvenirs, les 35 années de son passage à la mine. Grâce à mon père, je vais à la rencontre d’autres anciens travailleurs qui ont certainement leur mot à dire.
Née à Arlit au Niger en 1988, Amina Weira est diplômée en réalisation documentaire de l’université de Niamey (master 1) et de Saint-Louis du Sénégal (master 2). Son court-métrage documentaire de fn d’études C’est possible (26’) est sélectionné dans de nombreux festivals (Cinémas d’Afrique Lausanne, Caméra des champs, Rencontres Sobatè Ouagadougou...). Amina est également monteuse et assistante à la réalisation (Koukan Kourcia, les méditarices de Sani Magori). La colère dans le vent est son premier flm documentaire.
Prix du Premier Film Professionnel, Festival Traces de vie, Clermont-Ferrand, 2016
Meilleur Film Documentaire Moyen-Métrage, Toukountchi Festival de Cinéma du Niger, 2016
Mention Spéciale du Jury Moyen-Métrage, Festival International du Documentaire, Saint-Louis du Sénégal, 2016
Prix Développement durable attribué par l’IFDD, Festival Vues d’Afrique, Canada, 2017
Prix Meilleur court et moyen métrage attribué par l’OIF, Festival Vues d’Afrique, Canada, 2017
3ème Prix du Jury, Festival Caméras des champs, Ville-sur-Yron, 2017
Mention Spéciale du Jury, Festival Filmer le travail, Poitiers, 2017
Prix Spécial du Jury, Green Image Film Festival, Tokyo - Japon, 2018
Dans ma ville d’origine Arlit, au Nord du Niger, Areva exploite l’uranium depuis 1976. Aujourd’hui, une bonne partie de cette région, balayée par les vents de sable, est contaminée. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt. Cette exploitation a complètement désorganisé la vie de la population. Une partie de l’année, de violents vents de sable enveloppent entièrement la ville. Ce vent de poussière propage des substances radioactives. Chacun cherche un abri. La ville devient calme, toutes les activités sont stoppées. Mon père, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au cœur de ce film. Il va dépoussiérer ses souvenirs, les 35 années de son passage à la mine. Grâce à mon père, je vais à la rencontre d’autres anciens travailleurs qui ont certainement leur mot à dire.
Née à Arlit au Niger en 1988, Amina Weira est diplômée en réalisation documentaire de l’université de Niamey (master 1) et de Saint-Louis du Sénégal (master 2). Son court-métrage documentaire de fn d’études C’est possible (26’) est sélectionné dans de nombreux festivals (Cinémas d’Afrique Lausanne, Caméra des champs, Rencontres Sobatè Ouagadougou...). Amina est également monteuse et assistante à la réalisation (Koukan Kourcia, les méditarices de Sani Magori). La colère dans le vent est son premier flm documentaire.
Prix du Premier Film Professionnel, Festival Traces de vie, Clermont-Ferrand, 2016
Meilleur Film Documentaire Moyen-Métrage, Toukountchi Festival de Cinéma du Niger, 2016
Mention Spéciale du Jury Moyen-Métrage, Festival International du Documentaire, Saint-Louis du Sénégal, 2016
Prix Développement durable attribué par l’IFDD, Festival Vues d’Afrique, Canada, 2017
Prix Meilleur court et moyen métrage attribué par l’OIF, Festival Vues d’Afrique, Canada, 2017
3ème Prix du Jury, Festival Caméras des champs, Ville-sur-Yron, 2017
Mention Spéciale du Jury, Festival Filmer le travail, Poitiers, 2017
Prix Spécial du Jury, Green Image Film Festival, Tokyo - Japon, 2018
La colère dans le vent