Réalisateur | Peretjatko Antonin |
Acteurs | Vincent Macaigne, Vimala Pons |
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C’est la crise !? Partez en vacances !
Hector qui a rencontré Truquette au Louvre le 14 juillet, n’a qu’une préoccupation : séduire cette fille qui l’obsède. Le meilleur moyen c’est encore de foncer l’emmener voir la mer et Pator ne saurait lui donner tort, surtout si elle est accompagnée de sa copine Charlotte… Flanqués de l’inévitable Bertier, les voilà partis, empruntant les petites routes de France dont les caisses sont vides. Car c’est la crise ! Il faut remettre la France au boulot et, en plein été, le gouvernement décide d’avancer la rentrée d’un mois. Un chamboule-tout et quelques liasses de billets plus tard, le groupe se disloque à l’image d’une France coupée en deux, entre juillettistes et aoûtiens jaloux. Mais rouler en sens inverse du travail n’effraie pas le trio restant, bien décidé à retrouver la fille du 14 juillet et à vivre un été débraillé.
Avec Vimala Pons, Vincent Macaigne, Grégoire Tachnakian, Marie-Lorna Vaconsin, Pierre Merejkowsky...
Mieux qu’une armée de militaires le doigt sur la couture, plus réconfortant que des infirmières à qui ont demanderait de défiler avec des masques et des médailles, plus drôle encore que de voir Michel Drucker dans un AlphaJet voler sur les champs-Elysées... La fille du 14 juillet, un film réjouissant, énergique et comique. Mais attention, quelques scènes peuvent cependant vous faire tomber par terre de rire (c’est arrivé à certains d’entre nous en regardant la scène du gars déguisé en cafard et nous avons failli nous blesser...). Et puis un film avec Vincent Macaigne, c’est toujours un plaisir ! Et retrouver le cinéaste (proche des mutins) Pierre Merejkowsky, aussi !
Les Cahiers du cinéma : " Non seulement le film est une réussite réjouissante, mais il continue d’avancer sur un territoire essentiellement déserté par le cinéma français récent, à l’exception de Quentin Dupieux : celui de la comédie non naturaliste."
Libération : " C’est le privilège des très bonnes comédies burlesques de n’appartenir qu’à un espace exclusivement visuel qui se passe presque de dialogues et totalement d’explications."
Critikat.com : " Artificier virtuose, Peretjatko a une manière unique de faire dérailler ses scènes – raccrochant les wagons comme on s’arrimerait à un avion en chute libre."
Le Monde : " C’est un film (...) débraillé pour retrouver l’envie d’aimer ; un film libre, tout simplement."
C’est la crise !? Partez en vacances !
Hector qui a rencontré Truquette au Louvre le 14 juillet, n’a qu’une préoccupation : séduire cette fille qui l’obsède. Le meilleur moyen c’est encore de foncer l’emmener voir la mer et Pator ne saurait lui donner tort, surtout si elle est accompagnée de sa copine Charlotte… Flanqués de l’inévitable Bertier, les voilà partis, empruntant les petites routes de France dont les caisses sont vides. Car c’est la crise ! Il faut remettre la France au boulot et, en plein été, le gouvernement décide d’avancer la rentrée d’un mois. Un chamboule-tout et quelques liasses de billets plus tard, le groupe se disloque à l’image d’une France coupée en deux, entre juillettistes et aoûtiens jaloux. Mais rouler en sens inverse du travail n’effraie pas le trio restant, bien décidé à retrouver la fille du 14 juillet et à vivre un été débraillé.
Avec Vimala Pons, Vincent Macaigne, Grégoire Tachnakian, Marie-Lorna Vaconsin, Pierre Merejkowsky...
Mieux qu’une armée de militaires le doigt sur la couture, plus réconfortant que des infirmières à qui ont demanderait de défiler avec des masques et des médailles, plus drôle encore que de voir Michel Drucker dans un AlphaJet voler sur les champs-Elysées... La fille du 14 juillet, un film réjouissant, énergique et comique. Mais attention, quelques scènes peuvent cependant vous faire tomber par terre de rire (c’est arrivé à certains d’entre nous en regardant la scène du gars déguisé en cafard et nous avons failli nous blesser...). Et puis un film avec Vincent Macaigne, c’est toujours un plaisir ! Et retrouver le cinéaste (proche des mutins) Pierre Merejkowsky, aussi !
Les Cahiers du cinéma : " Non seulement le film est une réussite réjouissante, mais il continue d’avancer sur un territoire essentiellement déserté par le cinéma français récent, à l’exception de Quentin Dupieux : celui de la comédie non naturaliste."
Libération : " C’est le privilège des très bonnes comédies burlesques de n’appartenir qu’à un espace exclusivement visuel qui se passe presque de dialogues et totalement d’explications."
Critikat.com : " Artificier virtuose, Peretjatko a une manière unique de faire dérailler ses scènes – raccrochant les wagons comme on s’arrimerait à un avion en chute libre."
Le Monde : " C’est un film (...) débraillé pour retrouver l’envie d’aimer ; un film libre, tout simplement."
La fille du 14 juillet